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Journal

Destiné aux choristes tout comme à nos amis et sympathisants, voici un récit homérique de nos extraordinaires aventures hebdomadaires, accompagné de quelques infos "techniques" et

de photos plus ou moins croustillantes !

Pour celles et ceux qui ne nous connaissent pas encore, ces pages sont un moyen de découvrir notre petit groupe, qui vous attend ailes et paturons ouverts.

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Séances de 2025

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mercredi 30 avril 2025

 

On commence avec l'Ave verum corpus de Mozart, que l'on avait chanté il y a 11 ans ! Deux choristes seulement avaient les partoches, on s'est donc rassemblé en deux blocs, femmes et hommes. Faut-il préciser que ce fut assez catastrophique ? Retenons pour l'instant qu'il faut accentuer les avant-dernières syllabes. On travaillera dans de meilleures conditions lors des  deux prochaines séances... Y'a du boulot !

​Puis on passe à Caligaverunt. Ténors et alti chantent ensemble : ça fait "ca-ca" en 1... Alti : ne pas bouffer la note en 15 ! Basses : écouter les sopranes et les ténors avant la reprise en 15. On ajoute un petit point d'orgue entre 18 et 19, à nouveau entre 23 et 24, et aussi entre 35 et 36. Les qui sont en valeur longue, sauf le 3ème. On respire toutes les 4 mesures (caliga ou Ave verum) : il faut du souffle ! o ouvert (ɔ) pour omnes. Les ténors sont priés de "bien poser" omnes populi, en pulsant.​

Ensuite, un petit Missa brevis, "pour se décrasser les bronches". Attention au point d'orgue au dernier domini. Bien accentuer Hosannah !

Dextera Domini : les basses en prennent pour leur grade ("pas assez angéliques", paraît-il...), mais ils affrontent la critique avec leur flegme habituel. Bien placer la syllabe culminante de  vir    tem. On entame le milieu de la pièce, à partir de 87... puis on va direct à la fin : en 176, les basses doivent accentuer le lu et faire le [jah] en sourdine.

​Pour Muusika, le chef n'a qu'un mot à dire : SUPER !

​​​​​

Dans le Gloria de Vivaldi, chaque pupitre répète jusqu'à 54. Christophe fait signe pour tous ls changements de syllabes difficiles.  Le début est sec... On accentue le glo, pas le ri, pas le a. Ar-ti-cu-ler GLOria in exCELsis DEo.

Pour finir, Et in Terra Pax, debout et avec bande orchestre... Résultat mitigé. L'accompagnement "instrumental" est, selon le chef, un peu trop "synthétique" ; pas sûr que ce soit la cause des quelques couacs perçus ici ou là... À dans 7 jours !

mercredi 23 avril 2025

 

Même pendant les vacances scolaires, le Coq studieux répète sans trêve et sans repos !

 

Nous attaquons le Gloria de Vivaldi (avec de nouvelles partoches, non exemptes d'erreurs cependant : pour les ténors, en 43-46 le si♯  doit être changé en si naturel), et nous lui consacrons un long moment. Appuyer sur les 2èmes temps de chaque mesure  (ex'celsis 'Deo). Pour les basses, le ria va sonner tout seul => bien attaquer le glo ! Pour les sopranes, attention aux chromatismes  => penser que ça ne descend pas tant que ça... Après avoir semblé conclure (« Après, ça sera plus simple  »), le chef décide d'aller jusqu'au bout... En 62-63, les ténors et sopranes partent, PUIS les alti-basses.

Dans Et in Terra Pax, les basses doivent bien soutenir, sinon on est perdu ! On répète en faisant partir en premier tantôt les basses, tantôt les filles... Il ne restera à défricher que 6 mesures.

On chante Muusika une fois, « c'est la bonne ! ». Les basses ne doivent pas trop appuyer le "ta" en 30.

On attaque ensuite Dextera Domini, en commençant par les trois dernières pages (très dures !). Puis on révise le début, en approfondissant, avant de sauter à la dernière page ; à l'extrême fin, on finit pianissimo et on ralentit. Les basses, pour une fois, sont maîtres de la mélodie ; ils doivent affirmer le lu et ne pas alourdir le [jah] final. 

On finit avec The Rose, où on se perd un peu entre 40 et 57. À revoir la semaine prochaine !

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mercredi 16 avril 2025

 

Équilibre optimal de notre ensemble vocal ce soir : 20 choristes (5 personnes par pupitre).

 

Le Bureau, en la personne de Marie-Pierre, communique la liste des chants communs pour notre concert avec l'Eau vive en juin :

VIVALDI (Gloria, Et in terra pax, Domine Fili unigenite), DEXTERA DOMINI, MUUSIKA, CALIGAVERUNT OCULI MEI, BENEDICTUS,  AVE VERUM,  SPIRITUALS (Amen, Rock a my soul),  CANTIQUE DE JEAN RACINE.

Gloria de Vivaldi : Quelques corrections de partoches sont nécessaires pour ténors et  basses (Paul nous promet un nouveau tirage). Syllabes accentuées sur  ex'tchelsis ; on chante 'glo mais ria. C'est assez naturel, « c'est ça qui est bien chez Vivaldi ». « Le début est explosif, mais la pièce prend de l'ampleur à partir de la mesure 28 ».

Et in Terra pax (à partir de 76) : Les alti demandent qu'on leur donne le départ. Pour les basses, tenir trrrrrès longtemps le "tis" de 89 (qui se fait attendre) ; respiration individuelle autorisée (avec discrétion).

Muusika : « Fusionnez ! ». Les femmes d'abord, les hommes ensuite ! Ne pas trop ar-ti-cu-ler : « commencez par la voyelle en début de phrase ! ». Spécial basses : « regardez bien le chef à la fin ».

Caligaverunt : Y passer du temps (y compris à la maison), car la polyphonie est plus travaillée que pour les "pingouins-pingouins" de notre dernier concert ! Être particulièrement attentifs aux entrées. La réussite est d'abord une question de rythme. Il faut écouter, et apprendre par im-pré-gna-tion. Les sopranes, prononcez le "i" presque comme un "u".

 

Dextera Domini : Soyons majestueux. Il faut que ça avance ! Bien penser les accents toniques. Attention : trop de "ra" ! « Pas de vrais problèmes de démarrage, il suffit d'être attentifs ». Nous allons jusqu'à 99.

Nous finissons en vitesse avec le début de The Rose, que Christophe ferait volontiers chanter par le Coq en solo au concert. Quelques mesures seulement ; ça plaît au chef : « on l'étudiera la prochaine fois ! ».

On répétera (même s'il y a quelques absents) les 23 et 30 avril (vacances scolaires), sous réserve d'avoir la salle.

« Et écoutez Caligaverunt », conclut Christophe.

 

 

Pas de séance le mercredi 9  avril : repos bien mérité.

 


mardi 8 avril 2025

 

Cette fois-ci, c'était pour de vrai ! Nous étions un peu hésitants hier — en plus, nous ne voyions pas nos partoches... —, mais là, disons en toute modestie que nous avons été bons (avec l'aide de petits lumignons apportés par Christophe). Le concert avait été longuement travaillé en amont par Dominique Dimey, avec les enseignant·e·s de Chevigny, et des petits chanteurs fin prêts, fiers, souriants et (presque) spontanés. Après un petit échauffement en plein air au soleil couchant, nous sommes montés sur les planches. Les musiciens ont été très pro, et Dominique a su dialoguer avec les enfants en mêlant naturel et bienveillance. Il y avait beaucoup de bons sentiments, mais la vocation éducative du concert et la situation de la planète l'imposaient. Nous avons fait salle comble (pas difficile, parents et grands-parents des petits chanteurs étaient là), et nous avons bissé  Touche pas ma planète  (la deuxième fois, on s'est complètement lâché). Merci !

 

 

lundi 7 avril 2025

 

Pour ce soir de "Générale" au Polygone de Chevigny, 2 images :

Nous répétons les trois chants de demain soir avec Dominique Dimey, accompagnés par ses musiciens...

Puis nous chantons, en hommage à son papa, Syracuse, dans un arrangement qu'elle ne connaît pas !

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mercredi 2 avril 2025

 

Après une mise en voix consacrée à Syracuse (surtout la fin)la plus grande partie de cette séance est dédiée à la révision des chansons de Dominique Dimey : Je chante la terre, Avec mon vélo, Touche pas ma planète. Il n'était certes pas inutile de les retravailler, car nous sommes censé·e·s dialoguer avec Dominique, ce qui rend nos partitions un peu hachées (d'ailleurs, nous n'avons pas le texte de l'interprète, et il faut compter les temps)... mais à force, ça rentre ! Il fallait bien çà...

Il nous reste assez de temps à consacrer à The rose et à Dextera Domini, histoire de bien les mémoriser avant d'aborder, une fois passée la soirée  du Polygone, les nouveaux chants pour notre concert en solo, comme Caligaverunt et All bells in Paradise. Mais tout le monde ne pourra pas être présent lundi, mardi et mercredi... Nous nous sentons un peu overbookés !

 

 

samedi 29 mars 2025

 

Troisième fois que nous nous voyons cette semaine. La première partie de cet après-midi de soutien-approfondissement est à nouveau consacrée aux chants de Dominique Dimey. Nous les répétons en tenant mieux compte des enchaînements d'un pupitre à l'autre, nous nous é-cou-tons (c'est plus facile que dans la salle Simone Veil avec les chœurs mélangés), nous travaillons la justesse, le rythme (et les points d'orgue), nous intégrons les remarques d'avant-hier.  On progresse, on va y arriver en révisant à partir des fichiers Noteworthy de Paul, maintenant complets ; merci à lui !

 

Petit goûter de mise en forme. Nous devisons agréablement, blaguons, échangeons nos impressions sur la séance de jeudi.

 

Retour aux pupitres pour changer d'atmosphère. Nous vérifions que nous connaissons toujours Syracuse, à tout hasard...​Puis nous travaillons The Rose et Dextera Domini, morceaux assez longs qu'on avait besoin de compléter et de rechanter tou·te·s ensemble pour bien en maîtriser le rythme et en fluidifier le phrasé ; même chose pour Et in Terra Pax, plus court. Nous découvrons enfin Caligaverunt oculi mei, lamentation du vendredi saint, à la construction solide et subtile, qui nous plaît bien, avec rencontre de tous les pupitres seulement en 29-30 : "Mes yeux se sont enténébrés à force de pleurer, car il s’est éloigné de moi, celui qui était ma consolation : voyez, tous les peuples, s’il est douleur semblable à ce qu’est la mienne".

Nous repassons à table, pour goûter les préparations culinaires variées des choristes et les bouteilles des connaisseurs.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

​​jeudi 27 mars 2025

 

Nous nous retrouvons avec 2 autres chœurs salle Simone Veil (où nous avions déjà chanté 2 fois pour la fête de la musique) avec Dominique Dimey, son compositeur-accompagnateur (à la guitare) Pierre Bluteau, et Pierre-Jean Yème (directeur des affaires culturelles à la mairie de Chevigny), flûtiste-chef de chœur très dynamique et précis, à la tessiture impressionnante...

 

Dans Je chante la terre, intro 1 fois avec instruments seuls, puis 2 fois chœur bouches fermées ou "ô" ; mezzo piano à partir de 29, mezzo forte au couplet 3, forte aux couplets 4 & 5, que l'on chante deux fois (avec emphase pour "je voudrais des hommes libres"), et mezzo piano au couplet 7. Bien respecter le point d'orgue juste avant la mesure 98.

Au début de Avec mon vélo, chanter de façon dynamique (voix piquées dans "pap pa padoudi", plus sonores dans "dum", à prononcer "dom") ; couper net "partout " en 37. Attention en 60 : même note pour "pa" et "da" ; en 63 , après un "dam" très court : 𝄐 ; puis bien marquer le glissando ascensionnel en 64 (la note de départ importe peu). En 87, DIRE plutôt que chanter "bonjour salut hello" ; en 96, chanter "dans les jardins" comme Trenet ! En 125, "partons tou(s)", mais en 126, "parton z'a...".

Pour Touche pas ma planète, les hommes commencent par une quarte (cf. La Marseillaise) ; "Il faut que ça frotte !" ; bien tenir le "nèèèèt" en 24-25, mais pas en 34 "nè(t)".  Montrons notre détermination dans "Nous on veut pas se taire !" (42). Chez les dames, on attend jusqu'à 57 des rockeuses, mais ensuite, des voix d'anges... En 76, attendre "des fleurs" puis chanter "des homm's qui sav'nt encor'"...

Le Coq se retrouve samedi 29 mars aux Allouères à 14 h pour une aprèm' de répèt' suivie d'un casse-croûte, et notre générale aura lieu le lundi 7 avril à 20 h au Polygone : bas noir, haut blanc, foulards et cravates de couleur.

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mercredi 26 mars 2025

 

Et encore une basse de plus ce soir ! Notre ensemble vocal est décidément atypique... Quant aux ténors, ils retrouvent leur effectif habituel. Nous travaillons, dans une certaine urgence, les chants prévus pour le concert avec Dominique Dimey, que nous rencontrerons demain pour la générale, avec ses deux musiciens et les enfants de Chevigny. Paul a mis en ligne la plupart des chants, mais nous sommes loin d'être au point, et le chef, plutôt bougon ce soir, nous le fait savoir !

Avec mon vélo : On attaque le couplet 3, d'abord plus lentement que le rythme "officiel". Bien compter les mesures où Dominique chantera seule. Prononcer "parton'z avec" mesure 125. Saut d'octave (en profondeur, qu'on peut élégamment appeler aussi "dégueulando") à la fin. Puis on reprend en 37 le refrain 1, qu'on entonne deux fois.

Je chante la terre : C'est bien haut pour les basses, qui sont soulagées quand elles ont le droit de redescendre, par exemple à partir de 56. On passe en mineur dans les couplets 4 et 5, on s'arrête sur "chan" en 57. Au couplet 6, on monte d'1/2 ton. Les "o" en 81-82 ont à contretemps.

Touche pas ma planète : première phrase "les vagues me feront un manteau" en diminuendo. En 24, les musiciens font "pom pom pom", et on chante "touch'pas ma planète". En 47 et 54, c'est pas nous, mais les enfants qui chantent. Ce chant est moins difficile que les 2 autres. On répète une dernière fois debout.

On termine hors délai. Rendez-vous demain jeudi 19 h 30 salle Simone Veil, à la mairie de Chevigny, avec Dominique Dimey, ses deux musiciens, et les enfants de Chevigny.

mercredi 19 mars 2025

 

             Les basses sont particulièrement nombreuses ce soir !  C'est au tour des ténors de se sentir un peu seuls...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La séquence la plus fournie est consacrée à la répétition du concert avec Dominique Dimey, qui approche à grands pas !

 

Touche pas ma planète : dans l'intro, les basses doivent, pendant leur ronde initiale, bien écouter la double croche des autres pupitres. Attention au soupir du début de la mesure 41, qui succède à deux silences. En 54 et 107, les basses sont jusqu'à nouvel ordre obligés d'aller jusqu'au mi aigu (forcément en voix de tête, et ce n'est pas très beau !) ; peut-être Dominique Dimey leur fera-t-elle grâce...

 

Je chante la terre : les Ô-ô-ô de l'intro dissonent délicieusement. Cette pièce est assez répétitive. Dans les couplets 4 & 5, on passe en mineur. Christophe s'étonne de l'harmonie en 54-55, et il demandera à Dominique Dimey s'il n'y a pas une erreur de transcription. Après 51, pour les sopranes, attention aux et aux . En 59, ténors et basses se scindent, à la grande joie de ces derniers. "Il y a un bécarre sur le do !" dit le chef, et certains esprits mal tournés décèlent dans cette phrase une contrepèterie.

Pour répéter et réviser Dominique Dimey, une seule adresse !

On reprend assez rapidement en fin de séance :

Et in terra pax : passage difficile en 50 et quelques pour les alti.  On travaillera ce passage plus tard. On fignole la fin (à partir de 70). Simple relecture, plutôt concluante.

Muusika : une seule fois en entier, ça baigne...

The rose : attention ; pas "loulou", mais "lou-ou-ou".

On a un peu dépassé le temps imparti... mais la bonne humeur règne, et on se quitte les oreilles encore toutes tintinnabulantes. 

mercredi 12 mars 2025

 

Nous sommes nombreu·x·ses ce soir, avec deux potentielles nouvelles recrues, une dame et un monsieur, qui devraient tou·te·s deux enrichir les pupitres graves. À voir dans les semaines à venir !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Hyper-concentré·e·s, comme d'hab', nous entamons le registre de notre futur concert avec Dominique Dimey du 8 avril.  Les chants ne sont pas trop difficiles, mais nous n'avons pas beaucoup de temps pour les répéter...

Avec mon vélo : les alti ont "leur" voix, les autres ont une mélodie commune mais à des hauteurs différentes. Il manque les paroles des sopranes de 21 à 28 : "pabadabada" et glissando. Alti et basses : couper le dernier "a" pile quand les sopranes montent en 28. Respecter le piqué !

Je chante la terre : On laisse chanter la soliste (Dominique Dimey) au début, on ne commence qu'en 30 ("les dunes de sable"). Texte à corriger pour les basses de 33 à 35 : c'est le même que celui des autres pupitres. Les barytons (en fait ténors + basses) montent vraiment très haut en 46 !

Puis on avance dans deux pièces commencées les semaines précédentes :

 

Dextera Domini : En 33, beaucoup de monde, et donc beaucoup de tension. Soutenir les sopranes pour qu'elles ne ralentissent pas (ce que les basses, accusés de "freiner", ne font guère)... On attaque le passage "en imitation" (à partir de 71 (déjà vu par presque tout le monde) ; c'est difficile ! Attention au forte en 81 (qui aide les alti).

Et in Terra pax :  « Je rappelle qu'il y a des dissonances » dit le chef. On répète par pupitres successifs p. 2 ("bonae"). Entre 51 et 75, les cadences sont un petit peu compliquées... Ne pas s'affoler !

​On termine par The rose : on commence à vraiment connaître ce morceau qu'on aime bien. Une fois lentement, une fois plus vite. Enlevez, c'est pesé !

 

mercredi 5 mars 2025

 

Le cœur des gens : on est sur 3 temps, comme pour une valse ou une berceuse... mais, à partir de « il-bat, com'-çà », nouveau balancement : il faut accentuer la 1ère syllabe. Les 2 rythmes vont se contredire lors des canons. Très surprenant ; cela rappelle quelque peu les hémioles de Vivaldi...

Et in Terra pax :  c'est du baroque, avec des appogiatures sur les dissonances. Accents toniques sur « 'te » et « 'pax ». Bien tenir les « tiiis » de voluntatis jusqu'au bout. On répète à fond (remettant l'ouvrage sur le métier) jusqu'à 45, puis on enchaîne rapidement jusqu'à la fin du morceau.

Dextera Domini : Bien respecter les annotations de la partoche , aussi bien pour les nuances (piano, forte) que pour le rythme (lent, rapide). Un peu trop de "rats" et de "minets" ! Rester en tension, penser toujours à a-van-cer... Pour les basses (surtout quand il n'y en a que 2), difficile de tenir le "ta" de 84 à 88 sans respirer, mais on y arrive.

The rose : Gjeilo sublime le poème de Christina Rossetti, poétesse anglaise (engagée) du XIXe s., sœur de Dante Gabriel Rossetti (qui lui a longtemps "fait de l'ombre"). Il faut en vivre les dissonances. Les alti sont priées d'en faire des moments expressifs, et tous les autres pupitres doivent enrichir ces mêmes dissonances pour les magnifier !

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mercredi 19 février 2025

Deux morceaux seulement travaillés ce soir :

Et in terra pax : accentuer 'et in 'terra pax ho'minibus. Attention ! en 29, hémiole : insertion d'une structure rythmique binaire dans une structure rythmique ternaire (il faut s'y habituer).

En 39-40, il faut beaucoup de "ta", peu de "tis"!  On doit essayer de valoriser les dissonances (souvent sur "pax").

On saute quelques mesures et on reprend en 70.

Difficile de respirer ; on le fait comme on le sent dans chaque pupitre, pas tou·te·s au même endroit bien sûr !

The rose : pour l'instant tous les pupitres chantent aussi fort les uns que les autres, pour apprendre ; mais pour le concert, les lou lou lou seront moins appuyés. Ther's sweetness (en 22) : note difficile pour les sopranes. On maîtrise à peu près jusqu'à 38.  Les sopranes réclament la traduction de 29 à 33 ; Christophe nous la donne :

​​​​​On se risque à chanter les deux premières minutes (enregistrées sur notre Whatsapp par Brigitte). C'est pas mal du tout !

Le chef répond à la question « Quand allons-nous travailler sur le projet Dimey ? » : on attend début mars, car certains Chevignois vont se joindre à nous, et il faut démarrer pour tout le monde en même temps.

Nous ne répèterons jamais avec les enfants en raison des horaires des répétitions. Les dates de répétitions sont confirmées :

- jeudi 27 mars de 20 h 00 à 22 h 00 salle Simone Veil (mairie, salle des conseils) avec les chœurs adultes et les musiciens

- lundi 7 avril de 20 h 00 à 22 h 00, générale au Polygone (plaine de la Saussaie) avec les chœurs adultes et les musiciens.

Pas de répétition le 26 février, premier mercredi des vacances scolaires.

Mais le sondage WhatsApp nous autorise à répéter le 5 mars : nous devrions être au moins 14, peut-être 16... 

 

mercredi 12 février 2025

Absence du chroniqueur.

mercredi 5 février 2025

Au début, petites infos sur les semaines à venir :

- jeudi 27 mars et lundi 7 avril, répétitions, et mardi 8 avril, concert avec Dominique Dimey au Polygone (parc de la Saussaie).

- 17 mai à l'église St Bernard de Fontaine-lès-Dijon, pourvue d'un orgue (20 h ?), concert avec l'Eau Vive (raccord à 18 h 30).

- 14 juin à Rouvres-en-Plaine (où il y aura probablement du public... occasion de recruter ?), concert avec orgue aussi.

À noter : une répétition supplémentaire aux Allouères le samedi 29 mars après-midi.

On va aussi essayer de recruter à Chevigny : on se présente parmi les associations de la ville dans une plaquette de la mairie.

Elia Irde : attention à la (non-)prononciation des consonnes ; "ça force" =>  pas trop longtemps...  et ça frotte !

Dextera Domini : il faut que ça avance, donc pas de virtu'tem ; accentuer les 1ers temps ; mettre les "ra" entre parenthèses.

The rose : gare au passage des alti 1 en soprane 1 (26) ; bien lier "appletree" en 24.

Et in Terra pax (Vivaldi) : on défriche les 2 premières pages pupitre par pupitre. Beaucoup plus facile !

« Ça avance, bravo ! », dit le chef...  Mais Elia Irde et Dextera Domini sont longues, y'a du boulot... 

Le lys possède une tige lisse,

Qui ne blessera jamais ta main ;

Mais la rose sur sa bruyère

Est maîtresse de ces terres.

Il y a de la douceur dans un pommier

Et du profit dans le grain ;

Mais la maîtresse de toute beauté

Est une rose au dessus de son épine.

Quand avec de la mousse et du miel

Elle renverse sa bruyère penchante

Et déplie à moitié son cœur éclatant,

Elle enflamme le monde.

mercredi 29 janvier 2025

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La minorité masculine est de plus en plus minoritaire dans cette chorale !

 

Rock my soul : Répèt' avec, en alternance,  groupement des voix masculines (BT) et féminines (AS). Les femmes prennent de l'avance (mesures 29 et suivantes), puis les hommes les rejoignent. « Ça swingue comme une vieille chaussette ! », dit le chef. « Les basses, mettez plus d'énergie en 15 ». Ça s'arrange un peu après.

Dextera Domini : Christophe réitère les conseils de prononciation des lettres "piégeuses" (voir ci-dessous). On ralentit le tempo à partir de 33, puis on refait tout depuis le début jusqu'à la mesure 60, « presque en version concert... ».

The rose : Ne pas respirer entre "of" et "the land" ;  comme ne le dit pas la partoche, prononcer "hâ-â-â-âf" en 18 et 19.

Après 31, une partie des alti sont censées chanter plus haut que les sopranes, c'est bizarre... Erreur ? On pourra vérifier car on achètera les partitions (qui sont loin d'être dans le domaine public) pour le concert. Jusqu'à nouvel ordre, les alti font la voix des sopranes la moins haute, les sopranes 2 la voix théorique des alti, et les sopranes 1 leur propre voix.

 

Elia irde : Horreur ! le chef trahit la partition, conçue soit pour 3 voix de femmes, soit pour 3 voix d'hommes. Nous, on va faire tout à la fois... Les sopranes chantent une octave plus bas, et les basses en haut de leur tessiture. Christophe nous fait remarquer qu'une dissonance avec une octave d'écart est "moins dissonante" que dans la même octave... Ah! La belle chose que de savoir quelque chose ! On ne doit pas dire "wo", mais "o". On termine tou·te·s ensemble, version « voix bulgares » pour ces dames et « polyphonie corse » pour ces messieurs.

Le lendemain, Paul nous a transmis des liens vers les maquettes des chansons de Dominique Dimey  Avec mon vélo,

Je chante la Terre et Touche pas ma planète, pour préparer le concert  du mardi 8 avril, à charger depuis votre adresse mail...

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mercredi 22 janvier 2025

 

Une séance dédiée à trois chants nouveaux, pour lesquels on n'avance pas toujours aussi vite qu'on le souhaiterait...

Petite révision, au début, de la posture du chanteur (c'est une découverte pour le bizuth). Certain·e·s auraient voulu quelques photos où nous aurions été assez ridicules, mais le préposé autoproclamé aux clichés n'a pas eu les réflexes assez rapides !

Dextera domini : rouler le r de dextera, pas de ʁ guttural ! Marquer un net ralenti en 30-32. Ne pas prononcer les voyelles finales (l'accent tonique en latin est sur la première note de chaque mesure). Piano ne veut pas dire "pas fort", mais plutôt "doux" : de la douceur, S.V.P., dans ce monde de brutes ! Les 5 à la clé à partir de 61 ne doivent pas nous affoler...

Rock my soul : Pour l'ensemble de cette pièce, on appuie sur la 1ère syllabe, on relâche la 2ème. Attention aux répétitions des pages 1 et 2 (jeu complexe de ||: , de :||  et de :|||: ) ! Piège en mesure 15 pour les hommes : un drôle de sur soul. Après s'être habitué au rythme, on pourra swinguer ! Ténors, emmenez plus loin le son dans les aigus (comme dans si signor !).

The rose : le chef veut qu'on entretienne ce chant (« On a commencé sur du lourd, la prochaine fois on commencera par le léger »). Ce sont surtout les filles qui bossent au début. Le chef tient à ce qu'on fasse résonner toutes les notes, hautes et basses : ces dernières doivent résonner comme si elles étaient hautes (cf. l'exercice "Il y a du bas en haut et du haut en bas").

Il faudra rapidement fixer une séance un samedi, pour engranger tout ce que nous aurons semé en ce début d'année.

mercredi 15 janvier 2025

 

Les pupitres de ces dames sont plutôt dégarnis ce soir...

 

On reprend Rock my soul. Les basses doivent poser bien fort la 1ère double mesure, mais on laisse ensuite la 2ème s'élever dans les airs...

 

On découvre Dextera Domini de César Franck. Chaque phrase (4 mesures) doit se chanter sans respirer. Les basses ont le thème, puis les alti, puis les sopranes ; enfin vient le contre-chant des ténors. Ne pas trop appuyer les "a" finaux (halleluja, dextera).

 

Elia Irde de nous laisse quelque peu perplexes... Chaque pupitre chante dans les zones frontalières de sa tessiture, et on a tou·te·s un peu de mal avec le géorgien. Certain·e·s râlent un peu, mais on amorce un semblant de début de progrès.

 

Pour finir, on avance dans le déchiffrage de the Rose : "Mmmm" devient "Louloulou" ; appogiature en 15 ("moss", "half"). Mettre en valeur l'opposition entre le lys (tendre) et la rose (qui pique !).

Pour terminer la soirée, on tire les rois, dans la bonne

humeur générale... La tradition a du bon !

mercredi 8 janvier 2025

En cette première séance de 2025, un nouveau venu chez les hommes : David, qui obtient provisoirement le titre (très honorable) de baryton, avant que soit déterminé son pupitre définitif.  Bienvenue à lui !

Nous allons commencer de nouveaux chants, et sommes invités à trier nos partoches. Nous sommes aussi priés de virer tous les chants de Noël, mais de garder ce que nous avons chanté  pour  Noël  et qui n'est pas  de  Noël...  Est-ce clair ?

On reprend Syracuse. On rechante tout ; petit ajustement sur la coda pour les alti.

Le gros morceau est The rose, composé par notre ami Gjeilo. On commence par chanter lalala, on fignolera plus tard... Pour l'intro, « bouche ouverte mais lèvres fermées ».  « Laissez partir en 12, ne tenez pas la dernière note ».

En 25 - 26, sopranes et alti permutent.

Autre nouveauté : Avec mon vélo, de Dominique Dimey, plein de fantaisie. Assez simple, mais attention aux # et aux   !

Pourquoi les sopranes n'ont-elles pas de paroles entre 21 et 28 ?  Mystère... Ce sera donc padam, padam !  Les basses chanteront doum doum au même endroit. Bien respecter les silences.

On déchiffre (pupitre après pupitre)  la 1ère page du spiritual Rock my soul  pour se mettre dans le bain. Très dynamique !

Le rythme est assez difficile ; il faut se ba-lan-cer et non s'agiter : c'est un ber-ce-ment sur le "bosom" (sein, giron).

Pour la super-voix de sopranes. volontaires requises !

​Au programme de la prochaine séance : Le moteur à explosion (Chanson plus bifluorée). Plusieurs choristes l'ont déjà chanté, l'adorent et sont prié·e·s de rapporter leurs anciennes partitions.

 

Le 15 janvier, on partagera la galette. L'idée est donc de commencer un peu plus tôt et de s'arrêter vers 22 h pour tirer les rois. Rendez-vous donc vers 20 h - 20 h 10 max.

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Séances de 2024

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mercredi 18 décembre 2024

Ce soir, nous ne chantons pas ! Mais nous nous nourrissons de ce que nous avons apporté pour nous régaler ensemble. Comme il se doit, le menu est très varié, et nous faisons honneur, comme d'hab, au  haddock du président.

Pour la carte des vins, Bruno nous a proposé, comme convenu, deux "magnum mysterium" qui réjouissent nos papilles. La conversation porte sur nos souvenirs ( ah ! Amsterdam  en 2017, avec Jeppe Moulijn ! )             et sur des projets encore flous. Chacun·e évoque sa satisfaction du succès          du concert de samedi dernier.

Plein de titres de chants pour 2025 sont passés en       revue.  Hors  de  question  de

les citer ici, il faut entretenir le suspense...

Nous nous donnons rendez-vous pour le  8 janvier.        Joyeux Noël à toutes et tous !

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​samedi 14 décembre 2024

Nous avons fait notre premier concert de Noël ! L'église Saint-Martin de Quetigny était bien bien fraîche, mais pour la répétition, de 14 h 30 à 16 h 30, nous étions emmitouflés et le chauffage fonctionnait. À dire vrai, nous n'en menions pas large, car plusieurs morceaux ne nous semblaient guère au point... Pour le concert, en revanche, l'air chaud pulsé avait été coupé (à cause du bruit) et nos tenues étaient plus légères. Qu'à cela ne tienne ! Le public est venu nombreux, et l'ambiance fut très chaleureuse. Nous avons fait beaucoup mieux qu'à la répétition, et la foule a beaucoup applaudi. Nous avons très envie de revenir en ces lieux aux beaux jours. La soirée s'est terminée, une fois de plus, chez Sophie et Christian.

Si vous voulez entendre la voix de notre respecté président, puis celles de l'ensemble des choristes, n'hésitez pas à cliquer ici.

 

 

 

mercredi 11 décembre 2024

 

On  enchaîne  une  bonne  partie  du  programme.  Les  morceaux  non  vus ce  soir   seront  répétés  samedi,  avant  le  concert.

Ubi caritas : p au départ, m à exultemus, à timeamus. Terminer en laissant l'église résonner (donc, ne pas tourner la page !)

Douce nuit : respirer entre mesures 1 et 2, et ensuite toutes les 2 mesures. Attention au point d'orgue avant la dernière ligne.

Christmas lullaby : piano subito en 33, en 88, en 105. Dire "Wæis men", "g(r)eïce" ; on ne chante pas le 2e couplet, on revient au 1er.

Noël ukrainien : on zappe le 2e couplet, on revient au 1err après le 3e. Plusieurs légers crescendos. Prononcer toutes les consonnes.

O nata lux : respirer toutes les 4 mesures. Bien écouter les autres pupitres, ça aide. Prononcer diɲare (9), tʃelo (25) et gratzia (31).

Go, tell it : après les 3 solos des filles, on revient au "Go, tell it" de la mesure 37. Point d'orgue en 39, crescendo dans le "Go" final.

Hymne à la nuit : « à faire avancer, sinon blocs de 4 mesures vite mortels ». Reprise finale, pas bouches fermées, mais (l)ou, (l)ou, (l)ou.

O magnum mysterium : les hommes travaillent la p.3. Ornements, rythme très différent selon pupitres. Béatitude finale...

Muusika : petits conseils sur les lieux où on inspire dans chaque pupitre. Éviter de respirer dans la dernière mesure ppp.

mercredi 4 décembre 2024

 

Notre séance commence quelques minutes après la chute du premier ministre... Aucun rapport de cause à effet, d'ailleurs !

Les basses ne sont que deux, et ça va être dur, mais ils sont vaillants.

 

Nous passons presque une heure sur Christmas lullaby,  car y'a du boulot ! Il ne faut pas trop d'intensité sonore : ne pas aller au-delà de forte dolce, faire preuve de suavité et de douceur... Bien articuler quand même ! C'est une berceuse ⇒ respecter un lent balancement. Prononcer "clear", pas "clair" ! Le piano subito (levée de 17) est très important. Les basses s'emmêlent les pinceaux en 11 (1 seule note pour la basse-basse, 5 pour le baryton !). En 91, "Ə'bav", pas "abôv"... Ne pas dire "MƏ-ri-ah" mais "Maʁia", ce n'est pas du Gershwin !   Bien réviser à la maison, en écoutant des An-glais ; eux, ils savent !

Dans Amen, prononcer un h expiré avant le A, « parce que, contrairement au piano, on n'a pas de marteau dans la gorge ! » ;

introduire une césure entre "let it" et "shine", surtout pour le dernier (en 13) : regarder le chef encore plus que d'habitude...

O magnum mysterium : insister sur admirâââbile. On découvre la partoche entre les mesures 40 et 53 ; c'est pas facile, assez long, et c'est pour bientôt ! Les alti : « On n'y arrivera jamais ! ». Le chef : « Si ! ». Noter le soudain changement d'ambiance à partir de 53, dans les Alleluia : alléger sur les ia, appuyer sur les lé. Pour mettre le ton, il est utile de comprendre que "jacentem in praesepio" (mesure 36) veut dire "allongé dans une mangeoire" (ou "une étable", au choix).

L'Hymne à la nuit est exécuté plus facilement, mais le chef prendra des initiatives : « Si c'est joli, on fait durer les accords ; si c'est moche, on avance ». « Dans silence, écoutez les ténors, les basses ! et pas de "-ce" avant que le chef fasse signe ! ». À la fin, chanter  "louloulou"  au lieu de  "mmmmmmm"  (bouche fermée) ;  et attention, l'avant-dernier "lou" est très long !

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dimanche 1er décembre 2024

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Une grande partie de notre ensemble vocal se retrouve pour applaudir trois d'entre nous : Anaïs, Caroline et Hussam, qui ont candidaté pour participer, à l'Auditorium de Dijon, au "Chœur éphémère" pour y interpréter, au rythme du jazz, des chants de Noël ; Paul avait lui aussi été recruté, mais apprenant qu'il était censé apprendre les chants par cœur, il avait dû renoncer par manque de temps... d'où sa déception lorsqu'il constata que tous les choristes avaient des partitions ! Ce fut la  seule  ombre  au  tableau.   Chef,  instrumentistes,  solistes  et  choristes   maîtrisaient  leur  sujet,  et  même  le  public a pu les accompagner  en fin de concert,  avant le "bœuf" prévu à la fin, au foyer.  Nous avons chaleureusement applaudi !​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​​

 

 

mercredi 27 novembre 2024

Drôle d'ambiance en début de séance, et un peu de flottement dans la répétition de morceaux qu'on croyait connus... Le chef nous demande des prononciations inhabituelles de syllabes, que nous avons du mal à produire... Mais ça s'arrange ! 

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Douce nuit : les sopranes doivent prononcer c'est l'amor infini". La mélodie n'est pas encore maîtrisée par tous (basses). Conseil aux non-germanistes : réécrire les paroles sur les partoches de façon plus ou moins "phonétique".

Hymne à la nuit : on fera une reprise bouche fermée de "dissipe la douleur". À la fin, bien se préparer au point d'orgue entre "limpide et" et "sereine".

Benedictus : attention aux accents toniques : 've(nit) in 'do(mine) 'do(mini). Les premières syllabes doivent être accentuées, les finales murmurées. On tâtonne, on n'est pas à l'aise.

Ubi caritas : enlevez, c'est pesé. Ça baigne !

Noël ukrainien : juste poser, ne pas forcer la dernière note. « OK, ça va très bien marcher ! ». On répète plusieurs fois le 2e couplet, mais on laisse tomber le 3e.

O nata lux : Ne pas accentuer les dernières syllabes, surtout au début du 2ème système pour le "dam" de "quondam". Pour la 1e fois, on chante le 2e couplet... Prononcer coelo "tchelo", et se rappeler que "au" est une diphtongue dans gau.

O magnum mysterium : On travaille (seulement) l'Allelujah : ne pas respirer entre le "lu" et le 'jah" (trop de jah chez les ténors).

En 39, tout le monde doit poser le "pro" de "prolonge" en même temps.  Si on est en panne d'air, mieux vaut prendre de petites respirations dans les longues syllabes vers la fin que de respirer bruyamment.

Go, tell it : Bien, mais il faut être plus "swing". Attention à la montée des "go, tell it" pour les basses (do, mi♭). Sans doute, par manque de temps pour tout répéter avant le concert, on enchaînera les mesures 24 et 37 !

À la maison, travailler le petit bout qui reste sur le Magnum mysterium  et  répéter Muusika.

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Rendez-vous samedi 14 décembre à l'église Saint-Martin de Quetigny à 14 h 15 ;  répète dès 14 h 30, concert de Noël à 17 h.

Tenue : Messieurs : pantalon noir, chemise blanche, veste noire, cravate de couleur vive.

                Mesdames : pantalon noir, et pour ne pas avoir froid, pull rouge ou vert ou blanc 

(si chemisier, mettre un blanc).

Attention :  l'église ne sera plus chauffée après 18 h, et il fera froid !

Choristes, mettez (sous le blanc) du chaud... Les hommes peuvent avoir une veste noire et les femmes un dessus sombre. 
Le concert sera suivi d'un apéro dînatoire chez les Preioni, qu'on remercie ; chacun apporte bien sûr de quoi boire et manger !

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samedi 23 novembre 2024

 

Le premier après-midi de répète depuis longtemps ! Il faut dire qu'on chante en public dans trois semaines... (voir page "accueil").

Christophe nous demande d'arriver à l'église St Martin de Quetigny à 14 h 45 au plus tard pour une répétition dès 15 h précises !

La séance est fort détendue mais particulièrement efficace. Le plus dur est au début, avec Go, tell it. Les sopranes donnent le tempo. Les mesures 25 à 31 sont traîtres, on a tou·te·s du mal. On n'insiste pas trop, on y reviendra... « On a encore le temps ! ».

Dans le Christmas lullaby, le chef tient absolument au piano en 17. Attention, pour les basses, au "Maria" en 87 ; conseil : écrire les paroles sous la portée après le [D]. « En 87-90, des sourires ! » ; « Ne roulez pas les r, c'est du latin, pas de l'anglais ! » (protestations des choristes). En 96-97, les basses doivent écouter les ténors.

 

Amen marche bien,  avec claquements de doigts à partir de "this little light".  On re-re-prend  en montant chaque fois  d'un demi-ton.

 

​Pause n° 1

Pour le Noël ukrainien, notre maestro nous remet une page de prononciation (à retoucher en fonction des pupitres). On ralentit en 6, on dit "iala" (pas lala) à la fin, "tam folo" (sans j), "pelea" (sans n), "pe-e-n", "bo-ogour". Vider complètement les poumons (même si le chef rallonge  les temps) ; ainsi, « le public sera béat d'admiration » !

On maîtrise joliment Syracuse.  «   La respiration du chœur fait partie de la musique...   ».  Là aussi, blocs de 2 mesures... « Oui, super !  ».

O magnum mysterium : une lecture préalable au piano pour chaque pupitre. Trait vertical à marquer juste avant "viderent" en 22 (tous les pupitres se retrouvent)... et après 28, on repart en imitation (idem pour 39 et 45). « Pensez comme c'est écrit ! ».

 

Pause n° 2

 

Muusika :  prendre une direction quand on commence,  et suivre une ligne au lieu de réciter.  Il faut « aller jusqu'au bout de son souffle ».

Hymne à la nuit : bien respecter la blanche de si-len-ce. O nata lux : petite révision, ça fonctionne. Douce nuit : simple. Ouf, on est content.

mercredi 20 novembre 2024

 

Beaucoup de monde ce soir, mais Paul, malencontreusement aphone, s'est retiré, après quelques tentatives de vocalises, dans un lieu discret  pour transcrire sur Noteworthy la partition du lullaby pour nous... Quelle conscience présidentielle !

 

On attaque l'Ubi caritas de Gjeilo. Bien tenir le vivum en 27, penser aux accents toniques du latin, bien happer le souffle pour tenir les variations de rythme.

Le gros morceau est Christmas lullaby. Les hommes ne sont pas très sûrs en 11. On découvre la partie entre 77 et 92, et on lui consacre beaucoup de temps... Attention au piano subito sur maiden en 33 et 95. Après 77, accent tonique sur le premier temps. prononcer abave (et non above) en 92. Les sopranes sont invitées à aspirer les "h" à partir de 93 pour travailler les abdos et bien poser la voyelle.

 

Puis on déchiffre la partition du Noël ukrainien, pour laquelle le chef nous prie de ne pas écraser les dernières notes, de bien respecter un temps d'arrêt en fin de mesure 6, et de ne pas respirer entre "ia" et "la" à la fin.

Pour Go, tell it, les pages 62 et 63 devront absolument être placées côte à côte sur les pupitres (faire des photocopies si nécessaire) pour enchainer les mesures 24 à 28, sur lesquelles nous nous entraînons tout particulièrement avant de passer à  la dernière page, pour laquelle le point d'orgue est indispensable en 38.

Nous révisons ensuite Ô magnum mysterium, pour l'étudier plus à fond samedi. La fin est plutôt coton (problèmes de chevauchement), mais on arriver à faire quelque chose de présentable.

 

 

 

 

​​​​​​Samedi 23 novembre, rendez-vous à 14 h  à Ez Allouères. Pas de vrai repas à la fin, mais un apéro. Apporter des amuse-gueules ! 

mercredi 13 novembre 2024

Pas mal d'absents, et une séance un peu plus longue que d'habitude, sur des passages plutôt difficiles... On progresse !

Amen : les solistes ne se bousculent pas ; les sopranes se coupent en 2 : 2 font leur voix, 2 le(s) soliste(s). Bien mettre en valeur la césure  let it'// shine ; faire des ou de crooners en 5 et en 9... À la fin, les ténors doivent rester sur le mi long. Attention au point d'orgue juste avant le ou,  à la fin de la portée des solistes.

Go tell it on the mountain (qui sera mis en ligne par Paul prochainement) : on commence en 30-31, car l'enchainement "en cascade" est difficile. Il faut compter les temps. Les femmes doivent éviter de baisser, et respirer individuellement sur les longues syllabes. Les hommes sont priés de bien rythmer leurs  go tell it   |_|  go tell it,  en alternant les piqués (·) et les tenus (), puis faire un crescendo à la fin. Les tell it doivent être in-ci-sifs ! Le passage est long à mettre en place : avec les dédoublements, il faut compter 8 voix... mais c'est beau !

​O magnum mysterium : « On va le plus loin possible », dit Christophe... mais on travaille surtout sur la page 2. Ne pas accélérer de 15 à 20 (surtout les ténors !) ; prendre le temps de respirer en 17. Marquer par de longs traits verticaux les moments où on se retrouve : ex. ut anima (19), viderent (22)... Pour les Alleluia , utiliser les abdos (comme pour rigoler sardoniquement) sur les e-e-e et les u-u-u.

mercredi 6 novembre 2024

En présence d'un couple de visiteurs anglais accompagnant Caroline et Hussam, chants dans la langue de Shakespeare :

Christmas Lullaby : après lecture du texte par l'aimable lady, nous faisons des efforts de prononciation. Les barytons, puis tous les autres pupitres, sont priés de "timbrer" le king (en 30).

Nous sommes invités, dans Go, tell it, à swinguer davantage. Les pupitres accompagnants doivent soutenir les sopranes. Le maestro attend un accent tonique fort sur 'moun-tən.  Attention aux sauts fréquents de hauteur !

Mais nous pratiquons aussi notre estonien avec Muusika. « Il faut que ça avance », dit le chef, qui nous prie d'an-ti-ci-per... « sinon, on baisse » ! Les basses manquent de stabilité au début. Éviter de hacher les syllabes !

Nous enchainons sur le latin, avec O magnum mysterium. Nous travaillons surtout les mesures 16 à 39 ; en 28, prononcer « ia-chen-(tem) » : dernière syllabe à ne pas appuyer car désinence !  Les passages en imitation ("tuilés"), p. 2, sont délicats.

O nata lux, que Christophe gardait pour la bonne bouche, s'avère plus laborieux que prévu. Les sopranes sont priées de ne pas trop appuyer sur la fin. Mais on finit, modestement, en beauté.

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jeudi 24 octobre 2024

 

Répète chez Sophie et Christian, super-accueil !

Noël Ukrainien : les basses sont priés de ne

pas écraser la dernière note (pas leur genre !)

O nata lux : les mêmes basses, injustement

accusés de lourdeur, se voient infliger une

vocalise ("Y'a des zauts z'en bas z'et des bas

z'en haut") pour "penser les graves dans les

aigus"... et ça marche ! Le chef nous fait aussi

admirer l'écriture de la pièce, et en profite

pour nous faire une petite leçon sur le ternaire

(propice aux valses et aux berceuses)...

À la fin, bien respirer après "perditis", et

surtout ne pas respirer entre "con" et "fer".

 

Christmas lullaby : un peu de douceur est

réclamée aux hommes... Dans les Ave Maria,

repérer la différence de rythme entre voix

médianes (alto-ténor) et extrêmes (sopranes-

basses). Pas de Mariâââ, mais des Mariə !

 

mercredi 23 octobre 2024

 

Ce soir, parité de genre, Bruno étant revenu et les rangs des sopranes étant

clairsemés (c'est rare)... jusqu'à l'arrivée de Béné, retardée pour cause de boulot.

 

Nous déchiffrons Douce nuit, que nous chantons à peu près bien au bout

d'une demi-heure... Quelle efficacité !

 

Pour le Noël ukrainien, Christophe nous demande de ne pas trop appuyer

sur les syllabes et de fluidifier notre débit.

 

Dans Ô magnum mysterium, il faudra rrrouler les rrr pour être moins

"rugueux". Quand les alti et basses descendent d'une octave, iels doivent

garder la position de la langue et de la bouche comme s'iels chantaient

la même note, pour ne pas l'écraser... Respecter les accents toniques,

marqués au crayon par des ', et pas toujours sur la 1ère note de chaque

mesure ; éviter les à-coups, et prendre de l'ampleur. Attention : on passe

du ternaire au binaire en 67 !

 

Nous terminons par Go tell it on the mountain (prononcer "gow").

Mettre des balises dans les parties assez répétitives pour bien identifier

les ruptures de hauteur de notes, et surtout... SWINGUER !

Rendez-vous dès demain jeudi 24 octobre à 20 h 30 chez Sophie et

Christian (qui sera d'astreinte  ; nous espérons le garder toute la soirée !

                                Au retour, nous trouvons une petite photo (voir ci-contre)

                                               envoyée par Carole qui, absente, a pensé à nous...

                                                                                                                                                   mercredi 16 octobre 2024    

 

                                                                                                                                                                Trop d'absent·e·s prévu·e·s ce soir.

                                                                                                                                                                                        Après quelques échanges de  notre groupe                                                                                                                                                   sur WhatsApp, le chef considère comme

                                                                                                                                                         préférable de renoncer à la répétition.

Nous en ferons une de plus, dont la date

sera déterminée par une consultation

proposée par le même canal,

la semaine prochaine...

                                                                                                                                                  Verdict : Ce sera jeudi 24 octobre.

                                                                                                                                                  Espérons que tout le monde sera en forme !

mercredi 9 octobre 2024

 

Nous continuons à déchiffrer des chants pour un concert de Noël, malheureusement en l'absence de plusieurs malades.

Tous les records de vitesse sont battus pour le  Pot catalytique  de l'échauffement !

 

Go, tell it : tenir plus longtemps certaines syllabes finales : mountain (belle dissonance), ev'rywhere.

Pour les hommes, bien se préparer à la transition sur go, tell it en 9-10 et en 25-10 (1.).

Bien prononcer les diphtongues dans go [ɡəʊ] et  mountain [ˈmaʊntɪn].

O Magnum mysterium : gommer la rugosité du  r dans mysterium

Rouler le r de admirrrabile et de sacrramentum

Quand des syllabes sont marquées par des   , les remplacer au crayon sur la partition par la voyelle correspondante.

Hymne à la Nuit : plusieurs choristes avaient apporté la partition, mais pas tou·te·s la même et avec des paroles différentes...

On a essayé de le  chanter quand même en fin de séance, en lisant sur des écrans, sur des feuilles volantes, sur rien !

Résultat médiocre, mais on sent qu'on le retrouvera assez facilement la semaine prochaine sur une édition commune. 

mercredi 2 octobre 2024

 

Absence du chroniqueur.

En raison des maladies en tout genre frappant notre fine équipe et le nombre réduit de choristes pouvant être présents, le concert prévu en présence des élu·e·s de la métropole dijonnaise a été annulé... Dommage !

mercredi 25 septembre 2024

Notre président nous annonce qu'après l'annulation de notre concert en plein air au château de Pouilly pour cause de mauvais temps, les huiles municipales de Dijon nous offrent une 2ème chance, en des lieux abrités, le 2 octobre. Il y aura quelques absents, mais chaque pupitre sera représenté par au moins deux membres.

 

En début de répèt', vocalises à toute vitesse sur "pot catalytique pot catalytique pot catalytique pot", et on monte très haut !

Go, tell it : les ténors et basses doivent noter le le moment où "tell it" monte subitement en 16-17. Tous les pupitres doivent "swinguer un max"; Prononcer "ma-ounnt'n". « Ne vous inquiétez pas si ça va trop vite, je dégrossirai ensuite ! ».

Christmas lullaby : femmes seules  entre "Clear" et "air", hommes seuls entre "Wise" et  "there". Prononcer "Messaïa", "lʌllabaï" "Mariə" (quand c'est la Vierge).  Attention à la  ♫  en 30.  Piano subito  à  "maiden".  « Souriez, imaginez que c'est votre bébé ! ».

Magnum mysterium « en  tuilage » pour voix de femmes. Respiration pour sopranes entre "bile" et "sacra" en 18. Le "ma" des ténors en 9 donne la note aux basses dans "o" en 10. Dans les "Alleluia", chaque pupitre s'appuie sur le rythme des autres. « Soyez dynamiques ! »

O nata lux : Ne pas couper "quondam" en deux en haut de la page 2. On déborde un peu de l'horaire pour "caler" les huit dernières mesures. On a bien bossé !

Hymne à la nuit de Rameau : Beaucoup d'entre

nous l'ont déjà chanté. Après une petite bagarre ("quelle version on retient ?"), on arrive vite à un

assez bon résultat. Le chef aimerait bien que des

basses chantent leur "cieux" (en 9) dans les aigus.

    Certains y consentent...                                                            

Nous  remercions nos hôtes, nous louons leur hospitalité, l'acoustique de leur salon et la bonne humeur de l'assemblée, puis nous nous donnons rendez-vous le mercredi 6 novembre.                                   

 

Pendant ce temps, Karine, en vacances  à Syracuse,

a pensé à nous : la preuve, elle nous a envoyé de chouettes photos de cette belle ville sicilienne que

nous avons chantée dans plusieurs concerts ces derniers mois. Nous lui avons répondu par plein de 👍​ et de  ❤️, et nous illustrons la chronique  du jour par

 cette vue ensoleillée.                                                                                

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mercredi 18 septembre 2024

​Seule une partie de nos visiteuses est revenue. On est quand même très contents de les avoir parmi nous ! On commence en retard : le chef a eu des ennuis mécaniques, et il a fallu disposer le matériel de sono que nous utiliserons au parc du château de Pouilly (place d'Amérique) dimanche... si le temps le permet (les perspectives ne sont pas brillantes pour l'instant).

Si, à la mi-journée, la météo est franchement mauvaise, on se whatsappera pour s'annoncer qu'on renonce. Quelques volontaires viendront dès 15 h, le gros de la troupe est attendu à 16 h 30. ↓ Pour l'installation : là où est le pointeur rouge.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le programme est rappelé : Soon ah Will be done, Syracuse, Benedictus, Hallelujah, Muusika, Va pensiero, Amen.

Tenue : liberté totale. Paul annonce qu'il aura un chapeau melon ; quelques doutes s'expriment.

Penser à apporter cantates et pupitres (+ pinces à linge) !

On répète :

Amen : aspirer le "h" fictif devant tous les Amen, faire un un crescendo sur les ou et une petite césure entre let it et shine en 18.

Muusika : les alti, pas de "blanc" entre on te et ma. Tout le monde : dans Musikâ, c'est le â qui est important (« extatique, avec le sourire »). La basse du bas doit vraiment descendre très bas !

​Va pensiero : pas trop fort sur patria, mais vraiment très fort sur Arpador (pas Dark Vador !)

Missa brevis : ne presque pas prononcer le s de Benedictus ; point d'orgue à respecter par tou·te·s sur ni en 58 ; accents toniques sur 'Domine 'Domini et  Ho'sannah.

Hallelujah : Le chef se croise les bras et nous fait chanter tout seuls ! Ça ne se passe pas trop mal. Mais il faut vraiment qu'on puisse entendre la bande orchestre ; le chef n'est pas maître du tempo de cet enregistrement... 

Puis on défriche les premières mesures d'une nouvelle pièce, O magnum mysterium de Victoria. Bien donner sa valeur au "ma". Attention, exception à la règle du latin d'église : mañum et non maggnum. Pour les sopranes, difficile de conduire lejusqu'au bout de la vocalise : se guider sur les alti. Rouler le r de sacrrramentum en 15.

On finit par Go tell it, un peu laborieux chez les hommes, surtout pour les Go tell it répétés. Avouons qu'on se dissipe à la fin...

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mercredi 11 septembre 2024

Surprise en arrivant à Ez Allouères ce mercredi... Une foule de visiteuses est venue nous voir (dont une revenante, Élodie, que nous aurons grand plaisir à côtoyer toute cette année !), dans un joyeux désordre ; nous espérons que beaucoup auront été conquises par notre répète de ce soir et reviendront chaque semaine. Certes, les hommes ont un peu peur de se retrouver franchement minoritaires,  mais  ils  se  surpasseront  pour  se  faire  entendre.  En tout cas, le chef paraissait ravi.

 

 

La répète a été menée tambour battant, avec la perspective de nous produire en plein air (si la météo le permet) le 22 septembre (jour dont Brassens, paraît-il, se fout) au parc du Château de Pouilly : nous chanterons à 17 h ; ce serait bien d'être là à partir de 15 h pour l'installation du matériel. Petite révision de la "position du chanteur" (jamais de genoux bloqués en arrière, larynx à faire monter et descendre, dos bien droit) qui  — parait-il —  doit nous rendre irrésistibles si nous l'adoptons dans la rue !

Nous avons enchaîné des morceaux déjà bien connus :  Benedictus (vite expédié car [presque] parfait) ;  Syracuse (en 17, « châter le vât », coincé dans le groin (!) : quinte diminuée, diabolus in musica) ; Hallelujah (basses et ténors en 25, puis alti et sopranes en 21 ;  très exaltant, on est porté par la musique) ; Muusika (un peu de crescendo dans « on-te-ma » en 5, tenir et sourire sur « musikas » en 15 ; Va pensiero (on croyait le maîtriser, mais le chef n'a pas pu nous montrer — car on ne le regardait pas — les nuances et les contrastes entre passages "secs" et "coulants" qu'il attendait, et on s'est dissipé avant que l'orchestre ait fini) ; dans Amen, bien faire entendre le « shine » ; Nata lux de lumine nous a demandé plus d'efforts, car nous n'avions pas tout répété (mettre du « u » dans le « i » en hauteur, et attendre les 3 croches des alti à « pro », en 22). Ouf ! Nous avons avoué bien franchement à nos visiteuses que le travail  sur cette dernière pièce  ressemblait plus  à celui  de nos séances ordinaires,  sinon nous leur aurions fait un peu peur !

 

mercredi 4 septembre 2024

Chaleureuses retrouvailles, après une année riche en événements et des vacances pour s’en remettre....

Nous sommes venus une demi-heure plus tôt, pour tenir notre assemblée générale annuelle.

Le Bureau est réélu (président : Paul ; secrétaires : Marie-Pierre, Michel ; trésorier : Christian), et s'élargit à Brigitte (merci à elle !).

La cotisation est réactualisée : 90 € ; 50 € pour étudiant, chômeur... (mais les dons en plus de celle-ci sont les bienvenus). 

Notre association souhaite être déclarée "d'intérêt général" (défiscalisation possible d'une partie des cotisations et dons).​

Nous prévoyons une répétition par trimestre le samedi : la première date est fixée au 23 novembre.

Nous nous produirons dès le 22 septembre au château de Pouilly à Dijon, dans le cadre des journées du patrimoine (en fin d'après-midi), puis, si possible, le 14 décembre  à 17 h à l’église Saint-Martin à Quetigny. Nous souhaitons participer au Téléthon de Chevigny (moitié des bénéfices du concert de Noël), proposer un concert à l'EHPAD Les Tonnelles (galette des rois ?), être partie prenante du concert de Dominique Dimey le mardi 8 avril 2025 à 20 h au Polygone (avec les classes de CM1), chanter à Rouvres-en-Plaine le 14 juin (accompagnés par Yann Labanvoye ?), fêter la musique à Chevigny le 20 juin, re-chanter aux Archives l'été prochain (fête de la Musique ? du Patrimoine ? en rapport avec une expo ?) , chanter avec Souliko et Céline Mouton...

Enfin, nous sommes invités à réfléchir dès à présent à la célébration de notre vingtième anniversaire en 2026 !

 

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Il ne nous reste qu’une petite heure pour la répétition, qui se concentre sur 2 pièces :

O nata lux : la tierce picarde, mesure 8 ("le"), est à chanter avec le sourire, et on la pose bien tous ensemble ! Respecter scrupuleusement le rythme en marquant les trois temps (ram, tatam = rythme de sicilienne). On en apprend, des choses !

Attention, en latin d’église, c = tch, et gn = ñ.

Go, tell it on the mountain : un choriste  se rend brusquement compte que ce chant a été interprété par Marie Laforêt, le grand amour de ses 12 ans ½ ! Quelques difficultés dans la prononciation de l’anglais...

Le respect du tempo est très important. Respirer chaque fois entre go et tell it en pages 2 et 3. 

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Pour suivre la chronique de nos séances et concerts avant septembre 2024, rendez-vous à la page Archives.

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