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Journal

Séances de 2025

mercredi 26 novembre 2025

 

Beaucoup d'absent·e·s, un seul ténor pendant 40 minutes (mais il assure).

Notons que dans Ô nata lux, le rythme des sopranes rompt avec le ternaire des autres pupitres en 6ème mesure. Rythme à suivre pour les deux strophes. « On refera », dit le chef.

Christophe annonce qu'il prendra l'Hymne à la nuit  « assez allant », pour que ça ne soit « pas trop soporifique ». Respiration difficile à bien caser, sourire attendu sur le syllabe "nuit". Quelques basses peuvent chanter avec les ténors en 10-11-12. Appoggiature au 2ème "im men se". On garde la dynamique des 3 temps.

Dans We wish you a merry Christmas, le "happy" doit être « piqué » comme dans l'enregistrement. Attendre d'avoir bien terminé la syllabe "wi" pour prononcer le "sh" qui doit faire partie de la suivante ("shyou"). Bien détacher les syllabes la 1ère fois ; les notes peuvent être plus « fondues » dans la reprise. Aspirer nettement le "h" en 16. En 31, les basses doivent bien articuler "so-ome".

On reprend Go, tell it à partir de 22. "Goooh" est attendu TRÈS FORT, mais à partir de la mesure 31, les "tell it" doivent être plus courts et plus discrets. Conclusion : « on se demande "mais comment c'est écrit ?", mais quand on chante, on s'aperçoit que ça marche ! ».

Puis  on termine avec Cantate Domino (à partir de 46). « Vous vous souvenez qu'on fait une reprise à la place des 3 Alleluya à la fin ? ». Ben non justement, pas tout le monde... La preuve quand on chante ! Mais le coupable le note clairement sur sa partoche.​​

samedi 22 novembre 2025

 

Nous nous retrouvons à 13 h 01 (heure sublime où notre badge a consenti à nous ouvrir l'école Ez Allouères) pour un après-midi studieux. Vocalises diverses, comme d'hab, avec un travail sur le souffle (s-s-s f-f-f ch-ch-ch), et sur des syllabes variées.

Amen : Bien respecter les susdits ch-ch-ch, et chanter "mine" et "shine" sur des notes piquées ; "inventer" un h aspiré devant amen. Intro très lente, puis on accélère. Le chef s'autorise à faire quelques petites variantes de rythme ; les solistes donnent le tempo au chœur. Les ténors sont priés de rester dans le "tissu polyphonique". Point d'orgue à respecter avant le dernier "to show my lo-o-o-ove").

Christmas lullaby : Attention : tenir compte de l'alternance entre voix de femmes et d'hommes (rayer sur les partitions les passages à ne pas chanter). On commence avec le piano jusq'à 11-12-13... Surprise en 17 où on ralentit après dolce. On chante a capella le 🄳 . Les basses : bien prononcer Ma-ri-i-i-a en 30. Tout le monde : chanter "lie there" avec le sou-ri-re.

Le A des basses en 21 est une pédale de tonique.

Benedictus : vite expédié, car bien connu. Ne pas sacrifier le point d'orgue (à la fin d'un decrescendo) en 35 entre Domini et Benedictus.

​Go tell it : On commence par barytons et ténors sur 7-8. Devinette du chef "pour nous réveiller" : « Où est l'accent tonique dans Go, tell it ? » ; réponse : "tell". Penser à chanter un go plus long, car il est pointé. Ce sont les hommes qui travaillent le plus sur cette pièce, car ils en ont le plus besoin ; les basses doivent être dynamiques en 25, car ils entraînent les autres...

 

 

 

 

 

Douce nuit : Il faudra la chanter en allemand et en français ; terminer par la strophe la plus connue en français [Douce nuit... amour infini"], pour inviter le public à chanter avec nous. Toutes les voix du bas doivent soutenir solidement les sopranes dans le dernier "c'est l'amour infini". Possibilité d'un point d'orgue à la dernière mesure.

O magnum mysterium : Version concert tout de suite ! Prononcer "iachentem". Attention à praesepio en 38-39 : difficile, beaucoup d'erreurs ! Prenez en compte les accents toniques, marqués par des apostrophes dans la partition. Les basses doivent penser à la pulsation, surtout vers la fin. Ne pas chanter trop fort les 2èmes syllabes. Rouler les rrr, surtout pour rrrâ.

Lully, Lulla, Lullay : les sopranes commencent seules, les autres s'ajoutent. On chante tout, a capella, sans trop détoner, puis on se cale à nouveau sur le piano en 93 (on se remet quand même dans le ton). Il faut bien penser à changer l'intention en fonction du texte ; variations indispensables. Rester un peu plus longtemps sur "la" en 6 ; Christophe fera signe pour les départs. Pas de "smaller group" à la fin, tou·te·s chantent !

​The rose : MA-GNI-FIQUE ! Il faudrait un peu plus de présence des sopranes pour la succession des croches en 46. Béné les rejoindra, mais devra revenir au bercail des alti en 54. Ne pas oublier de ralentir en 🄶 !

 

 

 

 

 

 

 

Mercredi, on commencera par O nata lux. Bien s'imprégner des fichiers de Hussam (surtout la fin) d'ici là !

​La séance se termine, comme de juste , par de savoureux nectars et victuailles... et de passionnantes conversations.

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Cantate Domino : On voudrait un percussionniste... Le chef nous fait entendre un enregistrement vocal avec percussions : « Il faudrait que ce soit un peu plus violent ». Il demande aux 2 basses "profondes" de descendre d'une octave... Ça passe ! Le morceau s'avérant trop court, on décide de le doubler : on va jusqu'à la mesure 52, on coupe le "ia" de 53, puis on reprend au début. Crescendo pour les non-sopranes en 47-48, mais aussi en 26-27 ; prendre beaucoup de souffle pour le paroxysme en 47. On enchaîne tout, c'est concluant... mais quand même beaucoup de consonnes à la suite en 43 (expsalite)...!

mercredi 19 novembre 2025

 

Aujourd'hui, 19 choristes (5 par pupitre, sauf 1 absent, chez les ténors). Discussions sur le lieu de notre concert de Noël. L'intervention du chef nous amène à trouver un accord : l'église de Quetigny le vendredi 19 à 20 h (après une répète à la sacristie, pendant laquelle les radiateurs réchaufferont la nef).

Hymne à la nuit : on est en eurythmie tout au long des deux premières pages, sauf en 21-22 (en bas de la page 2). Ne jamais appuyer un accord sur une syllabe muette ! Après, on fait "loulou" ; on prononce "compatissâââââte". Le chef, pour conclure : « C'est la première fois que je l'entends aussi bien chanté » (ou « bien chanter » ?).

Go, tell it : on commence à la mesure 25. Les basses doivent doubler la syllabe "te-ell it... go". Petits problèmes de rythme chez lez barytons ; c'est plus facile pour les basses (±) profondes, sauf pour attraper la note en 37. « Les alti sont bonnes, elles ! ». Ne pas se planter dans les reprises, surtout p. 5/7, avec les [1.2.] et le [3]. À partir de "Go" en 25, noter qu'il y a des accents « pour entretenir un désordre ». Les basses se perdent un peu à partir de la mesure 12 : il faudra les faire travailler...

Douce nuit : « le succès de ce morceau très populaire ne s'est pas démenti pendant deux siècles ! »... dire "dâ" au lieu de "dans". Basses bien charpentées ; ténors concluants sur la clé de fa ; alti doivent ajouter de l'émerveillement à leur "mystère"... mais elles rigolent ! sopranes, dans "c'est", ne pas prononcer [e], mais [ɛ]. Pour tou·te·s : il faut que votre "amour infini" se voie dans vos yeux ! Ne pas poser trop fort la syllabe en fin de phrase.

We wish you a merry Christmas : bien emmener le "wiiiiiiiii" vers le "chiou" (long i: , pas de long ʃʃʃʃʃ ). Attention aux croches pas placées où on les attend dans "we wish you".. On (re-)déchiffre le morceau, avec l'expérience de Hussam. Bien marquer le h aspiré de "happy". Samedi, on travaillera la fin.

Cantate Domino, « pour nous réveiller »... « Ah, il ne nous reste que 10 minutes ! »... On le fait en entier. « Faites-moi un beau bourdon ! ». Morceau exécuté (choisissez l'acception du terme) à toute vitesse...

O magnum mysterium : on enchaîne tout, tout de suite... Pas si mal, quelques petites fautes de rythme : attention, par exemple, à "aa-ni-maa-lii-aaaa". Christophe est plutôt content.

mercredi 12 novembre 2025

 

Pour le concert de Noël, quelques perspectives se dessinaient : nous espérions pouvoir chanter à nouveau aux Archives départementales ; mais depuis, leur directeur nous a annoncé qu'il n'était pas en mesure de nous accueillir cette fois-ci. Dommage !

 

Après des vocalises particulièrement acrobatiques, nous ressuscitons la partition de The rose, que nous sortons de nos vieux cartons poussiéreux. « On a de beaux restes », dit le chef... mais on reprend la page 7 pour une meilleure fluidité entre basses et sopranes. Les deux moitiés de pupitre des alti doivent retravailler les voix à partir de 54. Bien prendre son souffle à la fin, que le chef tient à prolonger.

Puis on ouvre nos pupitres à la page O magnum mysterium. « On se lance ? » demande Christophe. Assez bon début, mais plusieurs pupitres se plantent sur la p. 4. Les basses se perdent dans le maquis des Alleluia de la fin ; ils n'écoutent, prétend-on, pas assez les ténors... « Restez bien sur vos appuis ! ». Puis vient la question qui tue : « Comment s'appelle l'accord final ? ». Réponse : « La tierce picarde, bien sûr ! » ; nous sommes invités à dessiner un petit 😊 sur les partitions pour montrer notre ravissement... C'était une nouveauté à l'époque de Tomas Luis de Victoria, mais ses successeurs en ont abusé, d'où l'appellation sévère de "tierce ringarde" que le chef semble bien aimer. Le passage du mineur au majeur l'amène à conclure : « C'était un peu bizarre... » ; on termine sur une "version concert", non sans quelques petits problèmes de rythme.

Vient l'heure de Cantate Domino, pour lequel on tente de chanter, dans tous les pupitres, l'Alleluyah du début à des hauteurs inhabituelles. Pour les basses : ne pas trop détacher les ha-ha  de terra·a·a. Bien respirer avant les mesures 26 et 45 pour mieux marquer les crescendos, et chanter de plus en plus fort sur les mêmes syllabes. À la fin s'impose le SOURIRE...

On révise rapidement, pour finir, Go tell it« Oh non ! », disent les sopranos. Mais l'air nous revient vite pour le début. On se dissocie (sauf les basses) à partir de 24. C'est assez fragile, et il pourrait y avoir plus de swing, mais bon...

 

Nous nous rassemblons en fin de soirée pour fêter le mariage — en Bretagne — d'Élodie, qui nous a préparé quelques douceurs : far breton arrosé de cidre. Fin de soirée bien sympathique, qui mérite quelques illustrations !

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mercredi 5 novembre 2025

 

Nous nous retrouvons 3 semaines après notre dernière répétition, car sinon il y aurait eu trop d'absent·e·s... L'ambiance est particulièrement sympa, on est franchement heureux de se revoir (et surtout de se réentendre) !

On reprend O nata lux pour lequel on a de beaux restes — en commençant par les basses seuls et en intégrant progressivement les autres pupitres. Tout se passe bien, et nous apprenons à la fin de l'exercice qu'on était un ton plus bas que dans la version concert ! On rechante tout, à la "bonne" hauteur et tous ensemble... On envisage de chanter le 2ème couplet, mais on y renonce ; on reprendra le premier. Il faudra bien respirer après  corporis  pour ne pas être gêné·e·s à la reprise.

On ressuscite le Christmas Lullaby de John Rutter. Attention, les filles commencent en 1. et les gars enchaînent en 2. ! Bien prendre en compte le "changement d'intention" mesure 16 : on passe de mezzo-piano à piano. Respecter les diphtongues, par ex. crown en 56. Quelques notes sont particulièrement basses pour ces messieurs (ex. king en 36).  Bien prononcer Maria [mǝ'riæ]. En 🄳, jolie pédale de tonique (note étrangère à l'accord), qui ne manque pas de "se résoudre" ! Attention : le chœur ne sera plus accompagné à partir de la mesure 82 et travaillera sans filet...

Après les berceuses, on se réveille avec We wish you a merry Christmas. Un trio (qui a eu l'occasion de le chanter en d'autres lieux) se lance ; il croule sous les acclamations à la fin de sa performance. Christophe nous fait travailler dans le même esprit. Dans "wish", prolonger le [i:], ne pas trop forcer sur le [ ʃ ], et accentuer le "you".

Dans les dernières minutes, on reprend Go, tell it. Le chef ne peut pas donner le signe de départ à chaque pupitre en 25, car ça va trop vite : il compte sur nous. Pas trop de difficultés dans l'exécution de cette pièce. L'enchaînement final le plus difficile est celui des sopranes.​ 

mercredi 15 octobre 2025

Nos rangs sont plutôt clairsemés ce soir, surtout du côté des hommes. Le chef nous propose "quelque chose de tranquille".

Nous commençons avec This marriage en haut de la p. 7. "Omen" veut dire "présage". Noter les 3 valeurs longues à la fin, et le point d'orgue de "moon" (pour tout le monde, pas seulement pour les ténors !). La phrase "I am out of words" n'est pas évidente, rythmiquement... Ces deux dernières pages sont assez surprenantes et donc difficiles, ce qui implique qu'on y passe, dans tous les  pupitres, pas mal de temps .

Pour Go, tell it, chaque voix travaille à tour de rôle, spécialement page 7/7 (avec quelques dédoublements de pupitres). Les "tell it" doivent être « piqués » , et il faut « bien lancer » les "go" après une mini-pause suivant les "it". Conclusion : « ça résonne bien à la fin ! ».

Ça passe tout crème avec Lully Lulla Lullay. Principal conseil : « bien servir » les dissonances entre les hommes et les femmes. La fin est « un ravissement » (expression rarement utilisée par le chef, au moins avec nous) !

Cantate Domino est notre dernier morceau ce soir. Attention, les sopranes, de ne pas chanter trop bas le "o" en 26. Pour tout le monde (surtout les sopranes), bien faire entendre, en 🄰 , le n​ de "cantate". Bien respirer pour réussir le crescendo de la mesure 26 : « l'important, c'est de faire l'accentuation au bon endroit ». Les trois voix basses devront bien marquer le crescendo de "Deo" en 26.  En 🄱  , l'ensemble des choristes devra respirer toutes les deux mesures. Christophe demande

« de la dynamique sur la blanche, pas sur la noire ».

Le sondage n'ayant pu rassembler suffisamment de choristes pour l'un ou l'autre des mercredis des congés de Toussaint, il n'y aura pas de répétition pendant les vacances. Il faudra donc bosser avec acharnement le 5 novembre !

mercredi 8 octobre 2025

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​      Petit temps de bavardages et d'installation...

Christian nous fournit quelques infos sur notre séjour dans le Jura. On vote ; c'est le weekend des 24-25 janvier qui est choisi. On privatisera le gite. On pourrait chanter le samedi (« avant qu'on boive », dit le Président) ou alors le dimanche, avant de partir. Des crampons à neige (Décathlon) pourront être utiles ; sinon, location de raquettes possible sur place... Christian nous propose un sondage Whatsapp pour préciser si on vient seul·e ou à deux.

Go, tell it : On retravaille la  partie 31-36, ajoutée depuis peu. On passe beaucoup de temps par pupitre p. 7/7 (mesure 34). Les basses se sentent un peu seuls ; ça dissone avec les autres voix. Le chef attend un contraste entre "tell it" (modeste) et "go" (énergique). On y passe beaucoup de temps, mais ça sonne bien !

Lully, Lulla, Lullay : « un truc qui va vous apaiser ! ». Les hommes ont intérêt à écrire les textes sous leur portée. « Les basses doivent s'affirmer, car ils stabilisent ! ». Prononcer "neither" ˈnaɪ.ðər. On avance vite : « c'est naturel ! ».

Puis on révise O magnum mysterium... Certains ont du mal à retrouver leurs partoches. Une lecture tranquille au début, pour voir ce qui revient à nos mémoires (jusqu'à la mesure 19). Basses : "admirâââbile", en même temps que le "ma" des ténors. C'est un noème (objet intentionnel de pensée, exprimée par tous en même temps). « Les accents aigus sont des accents toniques ». « On le fera a capella ! »... Un enregistrement pirate est envoyé par XXX au groupe par Whatsapp : la marge de progression est grande !

Enfin, Cantate Domino : on va directement en 🄰 (mesure 21). Les femmes commencent, les hommes suivent. Ça se passe bien, mais des choristes commencent à ranger leurs affaires, alors que le chef aurait bien voulu continuer... Il nous laisse finalement partir, non sans une petite réprimande mais dans la bonne humeur ; nous avons efficacement travaillé. 

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mercredi 24 septembre 2025

Préambule : Nous arrivons une demi-heure en avance

pour pouvoir décider du programme des chants de notre  vingtenaire :

 

 

Puis nous attaquons Lully Lulla Lullay, en commençant par les basses et en introduisant successivement les autres pupitres. On va très vite, jusqu'au bout avec quelques notes très basses (75, 95). Ralentir considérablement à partir de 117.

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Nous travaillons ensuite la 2ème moitié de Go, tell it, où nous découvrons quelques petits pièges de rythme. On assiste en dernière page à une multiplication des voix (2 par pupitre). Pour passer de 36 à 37, il faut être expressif : tell it piqué, puis go forzando, les hommes doivent an-ti-ci-per ! Attention au point d'orgue entre 39 et 40.

Dans This marriage, au 4ème système, « les basses : accrochez le do du haut ». Prononcer "of laughter" avec le sourire (çà aide) : « Pensez grosse rigolade, la note vient toute seule ! ». On déchiffre en continuant à chanter : « Même si on n'a pas la note, on continue pour se rattraper ». On finit dans l'extase la plus complète...

On termine avec Cantate Domino, directement en A (mesure 21) : d'abord, travail sur prononciation et rythme, puis superpositions successives des voix de sopranes, alti, ténors et basses. Noter la dissonance en 21 sur "exul ta te". On termine sur "mmmmmm", et on retombe à partir de C sur la fin (déjà vue).

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mercredi 17 septembre 2025

En ouverture de séance, quelques dates sont fixées : la semaine prochaine, début de répète à 20 h pour discuter du programme de nos 20 ans (en attendant, voir notre Whatsapp du 3 septembre pour les suggestions déjà présentées). On fixe par ailleurs les prochains samedis de répète aux 23 novembre et 28 février de 13 h à 18 h... juste avant l'apéro, donc.

Puis on passe aux choses sérieuses : Pour This marriage, on répète les 2 voix du bas puis les 2 voix du haut (jusqu'à herafter). Attention au ♯ pour les 3 voix du bas, en haut de la p. 6. Laisser sortir le ooh (prononcer ou) en haut de la p. 8. « C'est bon, il ne reste que deux pages à faire ! ».

Dans Go, tell it, on déchiffre le passage qu'on avait sauté (faute de temps) avant le précédent concert entre 25 et 36. ⚠ au maʊn(tən), qui sera décalé, et ⚠ aux silences au début des mesures 31 à 36 (correspondant aux "tell it" des autres pupitres).

Cantate Domino : prononcer "c'a(n)ticum" et pas "quand t'y coume". En 13, "Servite 'Domino" ; insister sur le "lu" avant (ia) en 15-16 (mais on peut "avaler" l'un des deux "æ" de lætitia). En 20, "terrra" (roulé comme en espagnol) et "kæntate" (comme "canne tâtée"). On saute quelques pages, puis on reprend de 46 à la fin. Séance efficace !

Christian va nous envoyer par Whatsapp un sondage afin de choisir la date entre 3 week-ends de janvier pour notre séjour musical et sportif dans un refuge du haut Jura.​​

Programme de Noël :

·  O Magnum Mysterium (Tomas Luis de Victoria) - 1572

·  O Nata Lux de Lumine (Thomas Tallis) - 1575

·  Hymne à la Nuit  (Rameau) - 1733

·  Douce Nuit (Franz Xaver Gruber) - 1846

·  Soon ah Will be done (negro spiritual) - 1934

·  We wish you a merry Christmas (A. Warrel) - 1939

·  Amen [negro spiritual] (arrgt. C. Jusselme) - 1963

·  Christmas Lullaby  (John Rutter) - 1990
·  Muusika (Pärt Uusberg) - 2002

·  Lully, Lulla, Lullay - XVIe s. (arrgt Philip Stopford 2008)

·  Benedictus (Missa brevis de De Haan) - 2008

·  Cantate Domino (Karl Jenkins) - 2014
·  Go, tell it on the mountain (Roland Carter) - 2021

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Le webmestre ne dispose que des partoches en bleu.

Paul nous communiquera prochainement

un formulaire à remplir pour le décompte

des partitions à photocopier.

Programme des 20 ans :

·  Danse des sauvages des Indes Galantes (Rameau) - 1735

·  Nocturnes de Mozart (KV 346 & 549) - 1787

·  Psaumes de Haydn 31 & 69 - 1794

·  Dies Irae (du Requiem de Cherubini) - 1816
·  Couplet des rois (Jacques Offenbach) - 1864
·  Bogoroditse Dievo (Serge Rachmaninov) - 1915

·  Shalom Aleichem (chant liturgique juif) - 1918

·  Tabortüznel (Lajos Bardos) - 1921

·  L'aigle noir (Barbara) - 1970

·  Love is all (Roger Glover) - 1974

·  The Rose (Ola Gjeilo) - 1978

·  Mozart à Lyon (Roger Miller, d'après Mozart) - 1991
·  Amen (arrgt. Christian Jusselme) - 1995

·  L'île Hélène (Ivan Cassar, Claude Nougaro) - 2000

·  Soon ah Will be done (negro spiritual) - arrt. 2001

·  Benedictus (Missa brevis de De Haan) - 2002

·  Muusika (Uusberg) - 2003

·  This Marriage (Eric Whitacre) - 2004

·  Le dîner (Bénabar) - 2005
·  Cantate Domino (Karl Jenkins) - 2014

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mercredi 10 septembre 2025

​Grande nouveauté : pour respecter un vœu de notre assemblée générale de la semaine dernière, nous inaugurons cette séance avec quelques exercices physiques, plus variés et plus amples que d'habitude, avec toute la grâce qui nous caractérise  (photos).

Nous attaquons ensuite Lully, Lulla (qui n'est pas, comme on pourrait le croire, une musique de Lully). Notez bien : "la noire est toujours le tremplin de la blanche qui suit ; c'est ça qui caractérise ce rythme ternaire"... En 11-13, pour alti et ténors : soyez plus expressi·f·ve·s ! Basses : si vous hésitez sur la première note, pensez non à cette note, mais à toute la phrase !

Go, tell it : "Vous la connaissez !" Prononcer [ɡoʊ] et [ˈmaʊntən]. Le point d'orgue est pour tout le monde (pas que pour les basses) !

This marriage : Surprenant, il n'y a aucune barre de mesure ! Notons les triolets à la noire (cf. "Mariah")... On trouve dans cette pièce des quintes parallèles (ce qui est normalement INTERDIT en écriture musicale). "laughter" se prononce ['la:ftə(r)]. On enchaîne jusqu'à la mesure 24, puis on passe directement à 37. Petit ralenti à la fin. Bien respecter le point d'orgue en 40.

Cantate Domino :  on l'a déjà fait...  Bien marquer les contrastes de rythme.  On passe de 20 à 46 : "et hymnum di-tchi-te". En 46, les alti et ténors, "vous devez sentir la sixte au niveau de la langue...".

 

mercredi 3 septembre 2025

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Nous nous retrouvons après les vacances,    pleins de bonnes intentions pour la vingtième année de notre ensemble... 

Surprise en arrivant à Ez Allouères : porte close ! Le badge de Rémi ne fonctionnait plus (la mairie ayant modifié ses procédures). Une fois encore, Christian et Sophie nous ont offert l'hospitalité. L'Assemblée générale qui devait précéder notre première répète s'est donc tenue chez eux, et, faute de piano, nous n'avons pas chanté. Très prolixes, nous avons abordé de multiples sujets, en nous parlant très franchement, mais dans un excellent esprit et avec tout ce qu'il fallait de tolérance et d'humour ; moment fort agréable dans une douce fraîcheur. Le concert de nos vingt ans (avec nos chefs successifs) aura lieu à l'automne 2026, précédé sans doute d'un concert à l'église de Quetigny en fin d'année 2025, d'une balade dans les neiges du Jura au début 2026, d'une fête de la musique à Dijon... N'anticipons pas, tout cela prendra de la consistance dans les semaines à venir. Quelques-un·e·s d'entre nous se rendront samedi prochain à la journée des associations de Chevigny (à l'Ogive) pour jouer les sergents recruteurs.  Enfin, nous avons fait la bise à Anaïs, qui part pour plusieurs mois au Laos... Nous sommes gonflé·e·s à bloc pour cette année à marquer d'une pierre blanche !​

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mercredi 25 juin 2025

 

Bouquet final de 2024-2025 ! Maya, une nouvelle recrue (nous l'espérons...) nous rejoint pour faire notre connaissance en cette dernière répète de l'année. Elle rejoint d'abord les alti, puis vient faire un petit tour chez les sopranes en fin de séance.​

Pour commencer, nous discutons assez longuement sur les partoches à retenir pour notre vingtenaire, et sur le rôle qui sera occupé par nos anciens chefs à cette occasion. Conclusion : on peut demander à Fabien, à Xavier et à Yann de nous diriger sur 2 pièces chacun, et confier à Christophe le soin d'officier pour tout le reste (beaucoup de chants anciens, et quelques nouveaux qu'il nous fera découvrir). Cela suppose de fixer très rapidement une date, vu les plannings chargés des chefs de chœur quand arrivent les beaux et longs jours... Nos "devoirs de vacances" consisteront à réfléchir sur l'organisation de la fête.

 

Christophe, qui aimerait bien que nous planifiions davantage de concerts, voudrait aussi qu'on en prévoie un pour Noël 2025 (avec O magnum mysterium, Christmas Lullaby, O nata lux, et quelques nouveaux morceaux).

Nous attaquons ensuite Cantate Domino, nouveau chant signé Karl Jenkins (né en 1944). Mesures 1 à 12 : « Roulez les "l" ; n'insistez pas trop sur "lu" et sur "i-a-a" en 8 ; ne chantez pas trop fort, mais soyez dynamiques et ar-ti-cu-lez ! ». Mesures 46 à 53 : « Prononcez "di-tchi-te" ; ne posez pas le "-ia" final avant que le chef fasse signe ».

Nous reprenons ensuite O nata lux, de Tallis (1505-1585) dans une tonalité "Renaissance" abaissée, un peu sportive pour les basses. Attention : pas de coupure entre "con" et "fer" 6 mesures avant la fin.

On interprète, pas trop mal, The Rose de Gjeilo (né en 1978), qui nous a bien réussi en concerts, et qui semble impressionner Maya...

 

Pour la route, on se fait un petit Va pensiero, de Verdi (1813-1901) : bien accentuer les avant-dernières syllabes, jamais les dernières : « Verdi écrivait dans sa langue, il n'aurait pas voulu que les Français écrasent les finales ».

On se salue, on essaie de fixer une date pour un mâââchon de fin d'année... mais trouver une date commune à tou·te·s semble bien difficile. On recourra donc à Whatsapp, et bonnes vacances si on ne se revoit pas !

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vendredi 20 juin 2025

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Fête de la musique à Chevigny. Nous sommes détendu·e·s lorsque nous ouvrons la séance dès 20 h salle Simone Veil, devant un public assez peu fourni, de tous les âges, et fort bienveillant.

Plusieurs dames absentes, et les hommes font beaucoup de bruit ! Nous faisons individuellement quelques petites erreurs, mais elles passent inaperçues tellement le soutien des voisins est solide. Les applaudissements sont chaleureux. Nous restons dans la salle pour écouter Chuchotis, la chorale des salarié·e·s et retraité·e·s du C.H.U. (conduite par une jeune cheffe très dynamique), où les hommes sont très minoritaires. Puis nous  allons prendre l'air qui se rafraîchit enfin après une journée de canicule, et nous consommons quelques bières autour d'une table en plein air, en écoutant un concert de Not Won, qui se débrouille pas mal du tout (mentions spéciales au bassiste et au batteur) !

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Pour le son, cliquez

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samedi 14 juin 2025

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Eh bien, nos inquiétudes ne se sont pas confirmées ! Nous avons fait une bonne prestation, de l'avis unanime des chefs (Christophe bien sûr, mais aussi Xavier venu nous rendre une petite visite ; nous l'avons recruté pour tourner les pages du pianiste !). Le public nous a trouvé·e·s équilibré·e·s, justes, précis·es, sonores, ardent·e·s, efficaces. Nous ne sommes pas peu fier·e·s. Tout au plus regrettons-nous une prestation moins solide dans le dernier chant, l'Hallelujah de Haendel que nous maîtrisâmes assez bien autrefois, mais que nous n'avions pas assez répété récemment. La bonne humeur régnait donc pendant l'after, pour lequel nous avons retrouvé notre fief d'Ez'Allouères, en compagnie de plusieurs conjoint·e·s et ami·e·s.  Bravo aux chefs passés et présents, merci à Jean-Marie pour l'orgue et le piano, bises à notre public en or, et à la prochaine !

mercredi 11 juin 2025

Nous découvrons la collégiale Saint Jean Baptiste, belle église (XIIIe s.) de Rouvres-en-Plaine, que nous présente le Monsieur qui nous accueille, très fier de la riche histoire de son petit bourg, où naquit Philippe de Rouvres, dernier duc de Bourgogne de la branche aînée des Capétiens au XIVe s.

 

Nous ne nous attarderons pas sur la longue et difficile répétition, au cours de laquelle nous enchaînâmes Gloria, Et in Terra paxDextera Domini, Caligaverunt (auquel Christophe renonça pour ce soir au moins au bout de 3 mesures : c'était trop mal parti !), Ô nata lux (on chantera finalement une seconde fois le 1er couplet, le 2ème ne passant vraiment pas), Ubi caritas (le moins raté !), et enfin The Rose. Chaque pupitre en prend pour son grade, à tour de rôle : nous avons du mal à nous disposer, nous manquons de souffle, nous ne démarrons pas au bon moment, nous ne respectons pas le tempo, nous regardons les partoches plutôt que le chef, nous nous entendons mal, nous attaquons trop tôt ou trop tard, l'orgue prend de l'avance sur les chanteurs, etc., etc. Pour nous dédouaner, précisons qu'il manque quelques piliers de notre chœur... En tout cas, le chef n'est pas content ! À onze heures, on plie les gaules, honteuzéconfus.

​​Conclusion de cette peu glorieuse prestation : rendez-vous samedi à 17 h pour une "générale" où nous espérons tou·te·s être dans de meilleures dispositions ! Le concert commencera à 20 h 30. En attendant, nous sommes priés de réviser l'Hallelujah  de Haendel  à l'aide de quelques  liens (sopranes, alti, ténors, basses), le Gloria de Vivaldi (sopranesalti,  ténorsbasses  et le Et in terra pax du même (sopranes, alti, ténors, basses).

 

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Rock (a) my soul

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 The rose 

mercredi 4 juin 2025

 

La réunion de Bureau se termine, nous découvrons l'affiche pour le 14 juin, et nous attaquons la répétition dare-dare :

Rock my soul : le rythme est endiablé.  Les hommes se font accuser par le chef de « swinguer comme de vieilles chaussettes » ; c'est pas gentil ! mais on prend du dynamisme, et de l'ampleur à la fin. Christophe décide que ce sera notre "bis" au concert.

Ubi caritas : ne jamais accentuer les finales (ex. "mor"). À la fin, prononcer aman plutôt que amen.

Gloria : nous sommes jugés "un peu trop mécaniques" la 1ère fois ; ça s'arrange la 2ème. 

Et in Terra pax : pour plus de dynamisme, bien marquer les changements de syllabes. Gare aux petits décalages entre pupitres.

Caligaverunt : « Trop imprécis » quand on chante tous ensemble... Christophe fait d'abord travailler les femmes seules, puis tout le monde. Attention au ralenti sur le "le" en 24. Les basses : viser le "de" juste avant la descente.

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Dextera Domini : Les basses : doivent être bien dynamiques en 99 ! Le doyen : ne doit pas accentuer les dernières syllabes !

[On saute Muusika → signe que le Chef n'est pas trop inquiet...]

 

The Rose : 2 mesures de piano (x 8) avant d'attaquer...  Pas trop mal, mais « ça flotte » à partir de 41 - 42  =>  on reprend. Les sopranes répètent seules, puis avec les alti. On finit avec tout le monde.

 

Ô​ nata lux, « pour passer une bonne nuit ». Bien compter les 3 temps mesure 4 pour ne pas démarrer Jesu avec les sopranes.

 

 

mercredi 28 mai 2025

Soirée un petit peu spéciale : nous fêtons l'anniversaire de Hussam, en lui chantant (à la fin de notre échauffement) Happy birthday to you  en arabe, avec la complicité du chef.

Puis on passe aux choses sérieuses : Dextera Domini. Christophe s'occupe d'abord surtout des basses, puis des sopranes. On enchaîne debout ; nous sommes censés  ouvrir  et poser  la 1ère syllabe (dex, do...) de chaque mesure. Puis chaque pupitre fait de petites reprises. Bien respecter les fortissimi et pianissimi p. 144.

S'ensuit Ubi Caritas. Les sopranes attaquent ; le chef souhaite un départ commun... La bonne volonté prévaut, mais les alti sont "un peu brutales", dit notre maître à tou·te·s. En revanche, ce sont plutôt les hommes qui se font reprocher leur violence lorsqu'ils chantent "amor" (« C'est pas "À mort" le Christ ! »). Prononcer le "e" de amen « dans l'ouverture du "a"... ».

Dans le Gloria de Vivaldi, il faut émettre le "a" de façon naturelle et sonore : « C'est pas une pub pour le lait concentré Gloria ! ». « Morceau à écouter et travailler, ce n'est pas difficile... ».

Pour le Et in Terra Pax (du même) qui suit, les dissonances (bien présentes dans la musique baroque, et qui se résolvent par une consonance, amenée par le mot pax), doivent être valorisées... Sinon, le public croira qu'elles sont involontaires ! Basses : bien compter entre 60 et 69. L'accompagnement orchestre (enregistré) est certes rapide, mais le but est de mieux nous guider : « c'est moins souple, mais formateur pour le phrasé ».

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

mercredi 21 mai 2025

 

Ce soir, Brigitte a apporté des cerises de son jardin, et nous sommes nombreux à en profiter ! Merci à elle...

On commence la séance par un petit bilan de notre concert à Fontaine. Nous nous exprimons en toute liberté, assez conscients de nos (petits) ratés et de notre prestation (quand même) correcte. Le chef rappelle que nous n'avons que 4 répètes (dont celle d'aujourd'hui) avant le grrrand concert du 14 juin à Rouvres-en-plaine. Ce soir, concentration indispensable !

Soon ah will be done : on croyait connaître le morceau, mais ça cafouille au début (bonne excuse : on se perd dans les numéros de mesures)... mais ça revient à la fin, avec une belle sonorité... En fait, on s'en souvenait plutôt bien, et le fortissimo des dernières mesures est plus que convaincant.

Ô nata lux : Les femmes commencent, les hommes s'agrègent petit à petit.  Pas "digggnatus", mais "diñatus". On décide de rechanter le tout avec les paroles de la deuxième ligne ("Te vox paterna..." ; en fait, on saute 4 versets : c'est la strophe 5 sur 7 de l'Hymne composé par Pierre le Vénérable au XIIème siècle ! ). Il faut reprendre la dernière portée en bis. Ajouter un petit silence avant la dernière syllabe. Soyons très recueillis à la fin...

On consacre à The Rose plus d'une heure, mais avec des résultats ! On travaille d'abord la fin, à partir de 57. Les trois alti présentes se divisent, et l'alto du haut de fait soutenir par quelques sopranes. Prononcer "fire" : f'æi(Ə). Christophe accuse les ténors de transformer, dans leur dernière mesure, leur "tierce picarde" en "tierce ringarde"... Jusqu'à nouvel ordre, on entonne la fin sur "la la la" (on verra si, pour le concert, on chante bouche fermée). 

Puis on remonte petit à petit , de F ("moment-clé !) à la fin, puis de E à la fin, et ainsi de suite en terminant par l'intégralité de la pièce. Le chef paraît content...​​

On passe moins de temps sur les 3 pièces suivantes, dont — ô miracle — on se souvient assez bien.

Dans O nata lux, que nous maîtrisons correcte-ment, nous chantons plusieurs fois le deuxième couplet, auquel nous sommes peu habitué·e·s.

Dans l'Allelujah de Haendel, bien retenir sur quels autres pupitres  on doit se caler pour respecter un rythme exigeant.

Dans The rose, c'est la partie d'alto qui est particulièrement travaillée. On chante d'emblée les deux dernières pages, puis on reprend, debout, depuis le début... « Bravo ! » (le chef semble satisfait).

La soirée se termine par la dégustation du tiramisu préparé par Caroline en l'honneur de Hussam. Miam !

Le travail est particulièrement sérieux !

samedi 17 mai 2025

Bon, on a fait ce qu'on a pu... Il y a eu des soirées plus brillantes, mais, disposés de façon plus harmonieuse qu'à la répétition précédente, nous nous sommes bien défendus dans les pièces du début (Gloria, Et in Terra pax de Vivaldi, Muusika d'Uusberg) et de la fin (Ave Verum Corpus de Mozart, les negro spirituals (Amen, Rock a my soul) et le Cantique de Jean Racine de Fauré. En revanche, nous avons un peu honte du Dextera Domini de César Franck et du Caligaverunt de Victoria... Il nous manquait sans doute quelques répétitions (en dépit des séances supplémentaires de mai), une bonne partie de celles de mars ayant été consacrées au concert d'avril de Chevigny.

Mais le Coq est un fier oiseau qui s'engage à faire mieux la prochaine fois ! Nos camarades choristes de L'eau vive ont été fort accueillants, et le public, pas très abondant mais chaleureux, nous a régalés de ses applaudissements. Puis nous avons partagé un savoureux casse-croûte après le concert dans une salle annexe de la mairie de Fontaine, où l'ambiance était fort chaleureuse.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

lundi 12 et mercredi 14 mai 2025

 

Double séance de répète avec nos collègues de L'eau vive, à l'église Saint Bernard de Fontaine, bien fraîche pour la mi-mai... Une très longue mise en place pour disposer tous les choristes. Nous autres membres du Coq serons derrière et en hauteur, certain·e·s au bord du précipice !  Il faudra nous détacher de nos partoches pour regarder le chef, et nous habituer à la fois à l'accompagnement à l'orgue et au grand volume de la nef...

La répétition du lundi est assez inquiétante : on entend mal ses voisin·e·s, et pis encore les autres voix. Chaque pupitre s'emmêle les cordes vocales, pas forcément au même endroit ! Christophe, quelque peu courroucé, doit nous reprendre les uns après les autres. Il constate que nous perdons une bonne partie de nos moyens, que nous avons souvent plusieurs mesures de retard, plus rarement d'avance, et nous fait les gros yeux ; il se fâche même un petit peu quand, tout fiers d'avoir retrouvé la mélodie, nous nous comportons en gros bourrins, écrasant les syllabes finales au lieu de faire dans la nuance. Même l'organiste Jean-Marie en prend pour son grade, comparé à un héros de dessin animé !

Une petite amélioration pointe son nez en fin de répète, mais il est heureux que nous puissions revenir le surlendemain, après un indispensable travail de révision à la maison...

Le surlendemain est plutôt positif. Notre entrée en scène est sobrement et dignement chorégraphiée, et une fois perché·e·s, nous sommes mieux disposé·e·s (dans tous les sens du terme), plus nombreu·x·ses (les basses du Coq, en particulier, ont étoffé leur effectif) et plus à l'aise avec les partitions, l'orgue et la résonance de la nef. Nous enchaînons la plupart des pièces prévues (pas le Amen... ce n'est pas le plus difficile). Nous consacrons beaucoup de temps au Dextera Domini, sur lequel nous sommes encore bien fragiles... Nous nous écoutons mieux et nous suivons mieux le chef. Plutôt requinqués en fin de séance, nous nous donnons rendez-vous à 16 h 45 samedi (tenue habituelle : chemise ou corsage blanc, avec cravate ou foulard de couleur vive. Nous aurons une petite pause entre Caligaverunt et la Missa Brevis. À l'entracte, l'organiste Jean-Marie Fritz interprétera des concertos de Bach et de Vivaldi.

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samedi 10 mai 2025

Après-midi de répétition (avec juste deux petites pauses) pour aborder le concert de Fontaine avec un peu plus de sérénité...

Rock a my soul (rapidement) : les hommes, emparons-nous bien du soul (en 11) ; final en beauté, on y met du cœur. 

Dextera domini : les alti, attention de ne pas descendre en 154 ; les basses, insister sur sed en 145 et veiller au rythme : noires pointées en 147 et 148. « Enlevez-moi les rrrabo ! ». En 177, le  la  des alti et des basses est le même. On passe beaucoup de temps sur la partoche, mais on voit le bout du tunnel...

Cantique de Jean Racine : Expédié !  Ça marche... pourvu que l'organiste ait le même rythme que nous !

Et in Terra pax : on démarre en 32 ; en 60, 4 x 6 temps entre volunta- et -tis ; on passe du temps sur la p. 4, mais on progresse.

Ave verum corpus : le moment où on chante sanguine (en 28) est sinistre et crucial... « Je veux que ça avance ! ». RALENTI en 36 (examine), mais les basses posent le "mi" avant.

Gloria : le chef fera signe pour cel, sis, de à la fin, où il faudra accuser les contrastes de rythme ; on re-chante tout, accompagnés par une bande son, mais les attaques en 38 (basses) et 50 (alti) sont quelque peu foirées... Pour le concert, mettre les partitions de Gloria et d'Et in Terra pax à la suite dans les classeurs.

The Rose : On tient bien jusqu'à [F]... mais après, c'est le désastre !

On termine en vitesse par un nouveau petit Rock a my soul... puis on se retrouve chez Sophie et Christian qui nous accueillent royalement, comme d'hab. Fort agréable soirée, avec une belle lumière...

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mercredi 7 mai 2025

 

Nous nous sentons un peu justes pour le concert de Fontaine, prévu le 17 mai... Il est heureux qu'on ait programmé des répétitions supplémentaires samedi 10 à 14 h à Ez Allouères (apporter Ave verum corpus !), lundi 12 à 18 h 30 et mercredi 14 à 20 h 30 à l'église  Saint-Bernard de Fontaine (avec Jean-Marie Fritz, organiste), et un "raccord" samedi  au même endroit

à 17 h (concert à 20 h 30).

On répète :

Rock my soul, à peine défrichée, et il y a longtemps... Quelques prononciations de diphtongues à corriger, quelques mots difficiles (Abraham = 'eibrə'hæm), un down à remplacer par door en 44. Bien respecter les pulsations.

Caligaverunt : on insiste sur les rythmes, et on repère les points de départ en se guidant sur les autres pupitres car l'ensemble est construit pour que les voix se répondent naturellement ; les paroles ne se rejoignent que ponctuellement.

Gloria de Vivaldi : noter le diabolus in musica en 62. Le "o" final doit être plus court qu'indiqué.  Grands contrastes de hauteur, et un rythme ne supportant pas l'imprécision. L'accompagnement au piano figure sur les partitions, ça aide !

Dextera Domini : on commence en 115. les basses attaquent en mineur, puis repassent en majeur en 122. On brode, on brode. Les chevrons  Λ Λ Λ Λ  sont des signes fermes d'accentuation. Insister ! (par ex. en 142)...

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mercredi 30 avril 2025

 

On commence avec l'Ave verum corpus de Mozart, que l'on avait chanté il y a 11 ans ! Deux choristes seulement avaient les partoches, on s'est donc rassemblé en deux blocs, femmes et hommes. Faut-il préciser que ce fut assez catastrophique ? Retenons pour l'instant qu'il faut accentuer les avant-dernières syllabes. On travaillera dans de meilleures conditions lors des  deux prochaines séances... Y'a du boulot !

 

​​​​​​​​​​​Puis on passe à Caligaverunt. Ténors et alti chantent ensemble : ça fait "ca-ca" en 1... Alti : ne pas bouffer la note en 15 ! Basses : écouter les sopranes et les ténors avant la reprise en 15. On ajoute un petit point d'orgue entre 18 et 19, à nouveau entre 23 et 24, et aussi entre 35 et 36. Les qui sont en valeur longue, sauf le 3ème. On respire toutes les 4 mesures (caliga ou Ave verum) : il faut du souffle ! o ouvert (ɔ) pour omnes. Les ténors sont priés de "bien poser" omnes populi, en pulsant.​

Ensuite, un petit Missa brevis, "pour se décrasser les bronches". Attention au point d'orgue au dernier domini. Bien accentuer Hosannah !

Dextera Domini : les basses en prennent pour leur grade ("pas assez angéliques", paraît-il...), mais ils affrontent la critique avec leur flegme habituel. Bien placer la syllabe culminante de vir    tem. On entame le milieu de la pièce, à partir de 87... puis on va direct à la fin : en 176, les basses doivent accentuer le lu et faire le [jah] en sourdine.

​Pour Muusika, le chef n'a qu'un mot à dire : SUPER !

​​​​​

Dans le Gloria de Vivaldi, chaque pupitre répète jusqu'à 54. Christophe fait signe pour tous ls changements de syllabes difficiles.  Le début est sec... On accentue le glo, pas le ri, pas le a. Ar-ti-cu-ler GLOria in exCELsis DEo.

Pour finir, Et in Terra Pax, debout et avec bande orchestre... Résultat mitigé. L'accompagnement "instrumental" est, selon le chef, un peu trop "synthétique" ; pas sûr que ce soit la cause des quelques couacs perçus ici ou là... À dans 7 jours !

mercredi 23 avril 2025

 

Même pendant les vacances scolaires, le Coq studieux répète sans trêve et sans repos !

 

Nous attaquons le Gloria de Vivaldi (avec de nouvelles partoches, non exemptes d'erreurs cependant : pour les ténors, en 43-46 le si♯  doit être changé en si naturel), et nous lui consacrons un long moment. Appuyer sur les 2èmes temps de chaque mesure  (ex'celsis 'Deo). Pour les basses, le ria va sonner tout seul => bien attaquer le glo ! Pour les sopranes, attention aux chromatismes  => penser que ça ne descend pas tant que ça... Après avoir semblé conclure (« Après, ça sera plus simple  »), le chef décide d'aller jusqu'au bout... En 62-63, les ténors et sopranes partent, PUIS les alti-basses.

Dans Et in Terra Pax, les basses doivent bien soutenir, sinon on est perdu ! On répète en faisant partir en premier tantôt les basses, tantôt les filles... Il ne restera à défricher que 6 mesures.

On chante Muusika une fois, « c'est la bonne ! ». Les basses ne doivent pas trop appuyer le "ta" en 30.

On attaque ensuite Dextera Domini, en commençant par les trois dernières pages (très dures !). Puis on révise le début, en approfondissant, avant de sauter à la dernière page ; à l'extrême fin, on finit pianissimo et on ralentit. Les basses, pour une fois, sont maîtres de la mélodie ; ils doivent affirmer le lu et ne pas alourdir le [jah] final. 

On finit avec The Rose, où on se perd un peu entre 40 et 57. À revoir la semaine prochaine !

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mercredi 16 avril 2025

 

Équilibre optimal de notre ensemble vocal ce soir : 20 choristes (5 personnes par pupitre).

 

Le Bureau, en la personne de Marie-Pierre, communique la liste des chants communs pour notre concert avec l'Eau vive en juin :

VIVALDI (Gloria, Et in terra pax, Domine Fili unigenite), DEXTERA DOMINI, MUUSIKA, CALIGAVERUNT OCULI MEI, BENEDICTUS,  AVE VERUM,  SPIRITUALS (Amen, Rock a my soul),  CANTIQUE DE JEAN RACINE.

Gloria de Vivaldi : Quelques corrections de partoches sont nécessaires pour ténors et  basses (Paul nous promet un nouveau tirage). Syllabes accentuées sur  ex'tchelsis ; on chante 'glo mais ria. C'est assez naturel, « c'est ça qui est bien chez Vivaldi ». « Le début est explosif, mais la pièce prend de l'ampleur à partir de la mesure 28 ».

Et in Terra pax (à partir de 76) : Les alti demandent qu'on leur donne le départ. Pour les basses, tenir trrrrrès longtemps le "tis" de 89 (qui se fait attendre) ; respiration individuelle autorisée (avec discrétion).

Muusika : « Fusionnez ! ». Les femmes d'abord, les hommes ensuite ! Ne pas trop ar-ti-cu-ler : « commencez par la voyelle en début de phrase ! ». Spécial basses : « regardez bien le chef à la fin ».

Caligaverunt : Y passer du temps (y compris à la maison), car la polyphonie est plus travaillée que pour les "pingouins-pingouins" de notre dernier concert ! Être particulièrement attentifs aux entrées. La réussite est d'abord une question de rythme. Il faut écouter, et apprendre par im-pré-gna-tion. Les sopranes, prononcez le "i" presque comme un "u".

 

Dextera Domini : Soyons majestueux. Il faut que ça avance ! Bien penser les accents toniques. Attention : trop de "ra" ! « Pas de vrais problèmes de démarrage, il suffit d'être attentifs ». Nous allons jusqu'à 99.

Nous finissons en vitesse avec le début de The Rose, que Christophe ferait volontiers chanter par le Coq en solo au concert. Quelques mesures seulement ; ça plaît au chef : « on l'étudiera la prochaine fois ! ».

On répétera (même s'il y a quelques absents) les 23 et 30 avril (vacances scolaires), sous réserve d'avoir la salle.

« Et écoutez Caligaverunt », conclut Christophe.

 

 

Pas de séance le mercredi 9  avril : repos bien mérité.

 


mardi 8 avril 2025

 

Cette fois-ci, c'était pour de vrai ! Nous étions un peu hésitants hier — en plus, nous ne voyions pas nos partoches... —, mais là, disons en toute modestie que nous avons été bons (avec l'aide de petits lumignons apportés par Christophe). Le concert avait été longuement travaillé en amont par Dominique Dimey, avec les enseignant·e·s de Chevigny, et des petits chanteurs fin prêts, fiers, souriants et (presque) spontanés. Après un petit échauffement en plein air au soleil couchant, nous sommes montés sur les planches. Les musiciens ont été très pro, et Dominique a su dialoguer avec les enfants en mêlant naturel et bienveillance. Il y avait beaucoup de bons sentiments, mais la vocation éducative du concert et la situation de la planète l'imposaient. Nous avons fait salle comble (pas difficile, parents et grands-parents des petits chanteurs étaient là), et nous avons bissé  Touche pas ma planète  (la deuxième fois, on s'est complètement lâché). Merci !

lundi 7 avril 2025

 

Pour ce soir de "Générale" au Polygone de Chevigny, trois images :

Nous répétons les trois chants de demain soir avec Dominique Dimey, accompagnés par ses musiciens...

Puis nous chantons, en hommage à son papa, Syracuse, dans un arrangement qu'elle ne connaît pas !

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mercredi 2 avril 2025

 

Après une mise en voix consacrée à Syracuse (surtout la fin)la plus grande partie de cette séance est dédiée à la révision des chansons de Dominique Dimey : Je chante la terre, Avec mon vélo, Touche pas ma planète. Il n'était certes pas inutile de les retravailler, car nous sommes censé·e·s dialoguer avec Dominique, ce qui rend nos partitions un peu hachées (d'ailleurs, nous n'avons pas le texte de l'interprète, et il faut compter les temps)... mais à force, ça rentre ! Il fallait bien çà...

Il nous reste assez de temps à consacrer à The rose et à Dextera Domini, histoire de bien les mémoriser avant d'aborder, une fois passée la soirée  du Polygone, les nouveaux chants pour notre concert en solo, comme Caligaverunt et All bells in Paradise. Mais tout le monde ne pourra pas être présent lundi, mardi et mercredi... Nous nous sentons un peu overbookés !

 

 

samedi 29 mars 2025

 

Troisième fois que nous nous voyons cette semaine. La première partie de cet après-midi de soutien-approfondissement est à nouveau consacrée aux chants de Dominique Dimey. Nous les répétons en tenant mieux compte des enchaînements d'un pupitre à l'autre, nous nous é-cou-tons (c'est plus facile que dans la salle Simone Veil avec les chœurs mélangés), nous travaillons la justesse, le rythme (et les points d'orgue), nous intégrons les remarques d'avant-hier.  On progresse, on va y arriver en révisant à partir des fichiers Noteworthy de Paul, maintenant complets ; merci à lui !

 

Petit goûter de mise en forme. Nous devisons agréablement, blaguons, échangeons nos impressions sur la séance de jeudi.

 

Retour aux pupitres pour changer d'atmosphère. Nous vérifions que nous connaissons toujours Syracuse, à tout hasard...​Puis nous travaillons The Rose et Dextera Domini, morceaux assez longs qu'on avait besoin de compléter et de rechanter tou·te·s ensemble pour bien en maîtriser le rythme et en fluidifier le phrasé ; même chose pour Et in Terra Pax, plus court. Nous découvrons enfin Caligaverunt oculi mei, lamentation du vendredi saint, à la construction solide et subtile, qui nous plaît bien, avec rencontre de tous les pupitres seulement en 29-30 : "Mes yeux se sont enténébrés à force de pleurer, car il s’est éloigné de moi, celui qui était ma consolation : voyez, tous les peuples, s’il est douleur semblable à ce qu’est la mienne".

Nous repassons à table, pour goûter les préparations culinaires variées des choristes et les bouteilles des connaisseurs.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

​​jeudi 27 mars 2025

 

Nous nous retrouvons avec 2 autres chœurs salle Simone Veil (où nous avions déjà chanté 2 fois pour la fête de la musique) avec Dominique Dimey, son compositeur-accompagnateur (à la guitare) Pierre Bluteau, et Pierre-Jean Yème (directeur des affaires culturelles à la mairie de Chevigny), flûtiste-chef de chœur très dynamique et précis, à la tessiture impressionnante...

 

Dans Je chante la terre, intro 1 fois avec instruments seuls, puis 2 fois chœur bouches fermées ou "ô" ; mezzo piano à partir de 29, mezzo forte au couplet 3, forte aux couplets 4 & 5, que l'on chante deux fois (avec emphase pour "je voudrais des hommes libres"), et mezzo piano au couplet 7. Bien respecter le point d'orgue juste avant la mesure 98.

Au début de Avec mon vélo, chanter de façon dynamique (voix piquées dans "pap pa padoudi", plus sonores dans "dum", à prononcer "dom") ; couper net "partout " en 37. Attention en 60 : même note pour "pa" et "da" ; en 63 , après un "dam" très court : 𝄐 ; puis bien marquer le glissando ascensionnel en 64 (la note de départ importe peu). En 87, DIRE plutôt que chanter "bonjour salut hello" ; en 96, chanter "dans les jardins" comme Trenet ! En 125, "partons tou(s)", mais en 126, "parton z'a...".

Pour Touche pas ma planète, les hommes commencent par une quarte (cf. La Marseillaise) ; "Il faut que ça frotte !" ; bien tenir le "nèèèèt" en 24-25, mais pas en 34 "nè(t)".  Montrons notre détermination dans "Nous on veut pas se taire !" (42). Chez les dames, on attend jusqu'à 57 des rockeuses, mais ensuite, des voix d'anges... En 76, attendre "des fleurs" puis chanter "des homm's qui sav'nt encor'"...

Le Coq se retrouve samedi 29 mars aux Allouères à 14 h pour une aprèm' de répèt' suivie d'un casse-croûte, et notre générale aura lieu le lundi 7 avril à 20 h au Polygone : bas noir, haut blanc, foulards et cravates de couleur.

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mercredi 26 mars 2025

 

Et encore une basse de plus ce soir ! Notre ensemble vocal est décidément atypique... Quant aux ténors, ils retrouvent leur effectif habituel. Nous travaillons, dans une certaine urgence, les chants prévus pour le concert avec Dominique Dimey, que nous rencontrerons demain pour la générale, avec ses deux musiciens et les enfants de Chevigny. Paul a mis en ligne la plupart des chants, mais nous sommes loin d'être au point, et le chef, plutôt bougon ce soir, nous le fait savoir !

Avec mon vélo : On attaque le couplet 3, d'abord plus lentement que le rythme "officiel". Bien compter les mesures où Dominique chantera seule. Prononcer "parton'z avec" mesure 125. Saut d'octave (en profondeur, qu'on peut élégamment appeler aussi "dégueulando") à la fin. Puis on reprend en 37 le refrain 1, qu'on entonne deux fois.

Je chante la terre : C'est bien haut pour les basses, qui sont soulagées quand elles ont le droit de redescendre, par exemple à partir de 56. On passe en mineur dans les couplets 4 et 5, on s'arrête sur "chan" en 57. Au couplet 6, on monte d'1/2 ton. Les "o" en 81-82 ont à contretemps.

Touche pas ma planète : première phrase "les vagues me feront un manteau" en diminuendo. En 24, les musiciens font "pom pom pom", et on chante "touch'pas ma planète". En 47 et 54, c'est pas nous, mais les enfants qui chantent. Ce chant est moins difficile que les 2 autres. On répète une dernière fois debout.

On termine hors délai. Rendez-vous demain jeudi 19 h 30 salle Simone Veil, à la mairie de Chevigny, avec Dominique Dimey, ses deux musiciens, et les enfants de Chevigny.

mercredi 19 mars 2025

 

             Les basses sont particulièrement nombreuses ce soir !  C'est au tour des ténors de se sentir un peu seuls...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La séquence la plus fournie est consacrée à la répétition du concert avec Dominique Dimey, qui approche à grands pas !

 

Touche pas ma planète : dans l'intro, les basses doivent, pendant leur ronde initiale, bien écouter la double croche des autres pupitres. Attention au soupir du début de la mesure 41, qui succède à deux silences. En 54 et 107, les basses sont jusqu'à nouvel ordre obligés d'aller jusqu'au mi aigu (forcément en voix de tête, et ce n'est pas très beau !) ; peut-être Dominique Dimey leur fera-t-elle grâce...

 

Je chante la terre : les Ô-ô-ô de l'intro dissonent délicieusement. Cette pièce est assez répétitive. Dans les couplets 4 & 5, on passe en mineur. Christophe s'étonne de l'harmonie en 54-55, et il demandera à Dominique Dimey s'il n'y a pas une erreur de transcription. Après 51, pour les sopranes, attention aux et aux . En 59, ténors et basses se scindent, à la grande joie de ces derniers. "Il y a un bécarre sur le do !" dit le chef, et certains esprits mal tournés décèlent dans cette phrase une contrepèterie.

Pour répéter et réviser Dominique Dimey, une seule adresse !

On reprend assez rapidement en fin de séance :

Et in terra pax : passage difficile en 50 et quelques pour les alti.  On travaillera ce passage plus tard. On fignole la fin (à partir de 70). Simple relecture, plutôt concluante.

Muusika : une seule fois en entier, ça baigne...

The rose : attention ; pas "loulou", mais "lou-ou-ou".

On a un peu dépassé le temps imparti... mais la bonne humeur règne, et on se quitte les oreilles encore toutes tintinnabulantes. 

mercredi 12 mars 2025

 

Nous sommes nombreu·x·ses ce soir, avec deux potentielles nouvelles recrues, une dame et un monsieur, qui devraient tou·te·s deux enrichir les pupitres graves. À voir dans les semaines à venir !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Hyper-concentré·e·s, comme d'hab', nous entamons le registre de notre futur concert avec Dominique Dimey du 8 avril.  Les chants ne sont pas trop difficiles, mais nous n'avons pas beaucoup de temps pour les répéter...

Avec mon vélo : les alti ont "leur" voix, les autres ont une mélodie commune mais à des hauteurs différentes. Il manque les paroles des sopranes de 21 à 28 : "pabadabada" et glissando. Alti et basses : couper le dernier "a" pile quand les sopranes montent en 28. Respecter le piqué !

Je chante la terre : On laisse chanter la soliste (Dominique Dimey) au début, on ne commence qu'en 30 ("les dunes de sable"). Texte à corriger pour les basses de 33 à 35 : c'est le même que celui des autres pupitres. Les barytons (en fait ténors + basses) montent vraiment très haut en 46 !

Puis on avance dans deux pièces commencées les semaines précédentes :

 

Dextera Domini : En 33, beaucoup de monde, et donc beaucoup de tension. Soutenir les sopranes pour qu'elles ne ralentissent pas (ce que les basses, accusés de "freiner", ne font guère)... On attaque le passage "en imitation" (à partir de 71 (déjà vu par presque tout le monde) ; c'est difficile ! Attention au forte en 81 (qui aide les alti).

Et in Terra pax :  « Je rappelle qu'il y a des dissonances » dit le chef. On répète par pupitres successifs p. 2 ("bonae"). Entre 51 et 75, les cadences sont un petit peu compliquées... Ne pas s'affoler !

​On termine par The rose : on commence à vraiment connaître ce morceau qu'on aime bien. Une fois lentement, une fois plus vite. Enlevez, c'est pesé !

 

mercredi 5 mars 2025

 

Le cœur des gens : on est sur 3 temps, comme pour une valse ou une berceuse... mais, à partir de « il-bat, com'-çà », nouveau balancement : il faut accentuer la 1ère syllabe. Les 2 rythmes vont se contredire lors des canons. Très surprenant ; cela rappelle quelque peu les hémioles de Vivaldi...

Et in Terra pax :  c'est du baroque, avec des appogiatures sur les dissonances. Accents toniques sur « 'te » et « 'pax ». Bien tenir les « tiiis » de voluntatis jusqu'au bout. On répète à fond (remettant l'ouvrage sur le métier) jusqu'à 45, puis on enchaîne rapidement jusqu'à la fin du morceau.

Dextera Domini : Bien respecter les annotations de la partoche , aussi bien pour les nuances (piano, forte) que pour le rythme (lent, rapide). Un peu trop de "rats" et de "minets" ! Rester en tension, penser toujours à a-van-cer... Pour les basses (surtout quand il n'y en a que 2), difficile de tenir le "ta" de 84 à 88 sans respirer, mais on y arrive.

The rose : Gjeilo sublime le poème de Christina Rossetti, poétesse anglaise (engagée) du XIXe s., sœur de Dante Gabriel Rossetti (qui lui a longtemps "fait de l'ombre"). Il faut en vivre les dissonances. Les alti sont priées d'en faire des moments expressifs, et tous les autres pupitres doivent enrichir ces mêmes dissonances pour les magnifier !

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mercredi 19 février 2025

Deux morceaux seulement travaillés ce soir :

Et in terra pax : accentuer 'et in 'terra pax ho'minibus. Attention ! en 29, hémiole : insertion d'une structure rythmique binaire dans une structure rythmique ternaire (il faut s'y habituer).

En 39-40, il faut beaucoup de "ta", peu de "tis"!  On doit essayer de valoriser les dissonances (souvent sur "pax").

On saute quelques mesures et on reprend en 70.

Difficile de respirer ; on le fait comme on le sent dans chaque pupitre, pas tou·te·s au même endroit bien sûr !

The rose : pour l'instant tous les pupitres chantent aussi fort les uns que les autres, pour apprendre ; mais pour le concert, les lou lou lou seront moins appuyés. Ther's sweetness (en 22) : note difficile pour les sopranes. On maîtrise à peu près jusqu'à 38.  Les sopranes réclament la traduction de 29 à 33 ; Christophe nous la donne :

​​​​​On se risque à chanter les deux premières minutes (enregistrées sur notre Whatsapp par Brigitte). C'est pas mal du tout !

Le chef répond à la question « Quand allons-nous travailler sur le projet Dimey ? » : on attend début mars, car certains Chevignois vont se joindre à nous, et il faut démarrer pour tout le monde en même temps.

Nous ne répèterons jamais avec les enfants en raison des horaires des répétitions. Les dates de répétitions sont confirmées :

- jeudi 27 mars de 20 h 00 à 22 h 00 salle Simone Veil (mairie, salle des conseils) avec les chœurs adultes et les musiciens

- lundi 7 avril de 20 h 00 à 22 h 00, générale au Polygone (plaine de la Saussaie) avec les chœurs adultes et les musiciens.

Pas de répétition le 26 février, premier mercredi des vacances scolaires.

Mais le sondage WhatsApp nous autorise à répéter le 5 mars : nous devrions être au moins 14, peut-être 16... 

 

mercredi 12 février 2025

Absence du chroniqueur.

mercredi 5 février 2025

Au début, petites infos sur les semaines à venir :

- jeudi 27 mars et lundi 7 avril, répétitions, et mardi 8 avril, concert avec Dominique Dimey au Polygone (parc de la Saussaie).

- 17 mai à l'église St Bernard de Fontaine-lès-Dijon, pourvue d'un orgue (20 h ?), concert avec l'Eau Vive (raccord à

18 h 30).

- 14 juin à Rouvres-en-Plaine (où il y aura probablement du public... occasion de recruter ?), concert avec orgue aussi.

À noter : une répétition supplémentaire aux Allouères le samedi 29 mars après-midi.

On va aussi essayer de recruter à Chevigny : on se présente parmi les associations de la ville dans une plaquette de la mairie.

Elia Irde : attention à la (non-)prononciation des consonnes ; "ça force" =>  pas trop longtemps...  et ça frotte !

Dextera Domini : il faut que ça avance, donc pas de virtu'tem ; accentuer les 1ers temps ; mettre les "ra" entre parenthèses.

The rose : gare au passage des alti 1 en soprane 1 (26) ; bien lier "appletree" en 24.

Et in Terra pax (Vivaldi) : on défriche les 2 premières pages pupitre par pupitre. Beaucoup plus facile !

« Ça avance, bravo ! », dit le chef...  Mais Elia Irde et Dextera Domini sont longues, y'a du boulot... 

Le lys possède une tige lisse,

Qui ne blessera jamais ta main ;

Mais la rose sur sa bruyère

Est maîtresse de ces terres.

Il y a de la douceur dans un pommier

Et du profit dans le grain ;

Mais la maîtresse de toute beauté

Est une rose au dessus de son épine.

Quand avec de la mousse et du miel

Elle renverse sa bruyère penchante

Et déplie à moitié son cœur éclatant,

Elle enflamme le monde.

mercredi 29 janvier 2025

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La minorité masculine est de plus en plus minoritaire dans cette chorale !

 

Rock my soul : Répèt' avec, en alternance,  groupement des voix masculines (BT) et féminines (AS). Les femmes prennent de l'avance (mesures 29 et suivantes), puis les hommes les rejoignent. « Ça swingue comme une vieille chaussette ! », dit le chef. « Les basses, mettez plus d'énergie en 15 ». Ça s'arrange un peu après.

Dextera Domini : Christophe réitère les conseils de prononciation des lettres "piégeuses" (voir ci-dessous). On ralentit le tempo à partir de 33, puis on refait tout depuis le début jusqu'à la mesure 60, « presque en version concert... ».

The rose : Ne pas respirer entre "of" et "the land" ;  comme ne le dit pas la partoche, prononcer "hâ-â-â-âf" en 18 et 19.

Après 31, une partie des alti sont censées chanter plus haut que les sopranes, c'est bizarre... Erreur ? On pourra vérifier car on achètera les partitions (qui sont loin d'être dans le domaine public) pour le concert. Jusqu'à nouvel ordre, les alti font la voix des sopranes la moins haute, les sopranes 2 la voix théorique des alti, et les sopranes 1 leur propre voix.

 

Elia irde : Horreur ! le chef trahit la partition, conçue soit pour 3 voix de femmes, soit pour 3 voix d'hommes. Nous, on va faire tout à la fois... Les sopranes chantent une octave plus bas, et les basses en haut de leur tessiture. Christophe nous fait remarquer qu'une dissonance avec une octave d'écart est "moins dissonante" que dans la même octave... Ah! La belle chose que de savoir quelque chose ! On ne doit pas dire "wo", mais "o". On termine tou·te·s ensemble, version « voix bulgares » pour ces dames et « polyphonie corse » pour ces messieurs.

Le lendemain, Paul nous a transmis des liens vers les maquettes des chansons de Dominique Dimey  Avec mon vélo,

Je chante la Terre et Touche pas ma planète, pour préparer le concert  du mardi 8 avril, à charger depuis votre adresse mail...

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mercredi 22 janvier 2025

 

Une séance dédiée à trois chants nouveaux, pour lesquels on n'avance pas toujours aussi vite qu'on le souhaiterait...

Petite révision, au début, de la posture du chanteur (c'est une découverte pour le bizuth). Certain·e·s auraient voulu quelques photos où nous aurions été assez ridicules, mais le préposé autoproclamé aux clichés n'a pas eu les réflexes assez rapides !

Dextera domini : rouler le r de dextera, pas de ʁ guttural ! Marquer un net ralenti en 30-32. Ne pas prononcer les voyelles finales (l'accent tonique en latin est sur la première note de chaque mesure). Piano ne veut pas dire "pas fort", mais plutôt "doux" : de la douceur, S.V.P., dans ce monde de brutes ! Les 5 à la clé à partir de 61 ne doivent pas nous affoler...

Rock my soul : Pour l'ensemble de cette pièce, on appuie sur la 1ère syllabe, on relâche la 2ème. Attention aux répétitions des pages 1 et 2 (jeu complexe de ||: , de :||  et de :|||: ) ! Piège en mesure 15 pour les hommes : un drôle de sur soul. Après s'être habitué au rythme, on pourra swinguer ! Ténors, emmenez plus loin le son dans les aigus (comme dans si signor !).

The rose : le chef veut qu'on entretienne ce chant (« On a commencé sur du lourd, la prochaine fois on commencera par le léger »). Ce sont surtout les filles qui bossent au début. Le chef tient à ce qu'on fasse résonner toutes les notes, hautes et basses : ces dernières doivent résonner comme si elles étaient hautes (cf. l'exercice "Il y a du bas en haut et du haut en bas").

Il faudra rapidement fixer une séance un samedi, pour engranger tout ce que nous aurons semé en ce début d'année.

mercredi 15 janvier 2025

 

Les pupitres de ces dames sont plutôt dégarnis ce soir...

 

On reprend Rock my soul. Les basses doivent poser bien fort la 1ère double mesure, mais on laisse ensuite la 2ème s'élever dans les airs...

 

On découvre Dextera Domini de César Franck. Chaque phrase (4 mesures) doit se chanter sans respirer. Les basses ont le thème, puis les alti, puis les sopranes ; enfin vient le contre-chant des ténors. Ne pas trop appuyer les "a" finaux (halleluja, dextera).

 

Elia Irde de nous laisse quelque peu perplexes... Chaque pupitre chante dans les zones frontalières de sa tessiture, et on a tou·te·s un peu de mal avec le géorgien. Certain·e·s râlent un peu, mais on amorce un semblant de début de progrès.

 

Pour finir, on avance dans le déchiffrage de the Rose : "Mmmm" devient "Louloulou" ; appogiature en 15 ("moss", "half"). Mettre en valeur l'opposition entre le lys (tendre) et la rose (qui pique !).

Pour terminer la soirée, on tire les rois, dans la

bonne humeur générale... La tradition a du bon !

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mercredi 8 janvier 2025

En cette première séance de 2025, un nouveau venu chez les hommes : David, qui obtient provisoirement le titre (très honorable) de baryton, avant que soit déterminé son pupitre définitif.  Bienvenue à lui !

Nous allons commencer de nouveaux chants, et sommes invités à trier nos partoches. Nous sommes aussi priés de virer tous les chants de Noël, mais de garder ce que nous avons chanté  pour  Noël  et qui n'est pas  de  Noël...  Est-ce clair ?

On reprend Syracuse. On rechante tout ; petit ajustement sur la coda pour les alti.

Le gros morceau est The rose, composé par notre ami Gjeilo. On commence par chanter lalala, on fignolera plus tard... Pour l'intro, « bouche ouverte mais lèvres fermées ».  « Laissez partir en 12, ne tenez pas la dernière note ».

En 25 - 26, sopranes et alti permutent.

Autre nouveauté : Avec mon vélo, de Dominique Dimey, plein de fantaisie. Assez simple, mais attention aux # et aux   !

Pourquoi les sopranes n'ont-elles pas de paroles entre 21 et 28 ?  Mystère... Ce sera donc padam, padam !  Les basses chanteront doum doum au même endroit. Bien respecter les silences.

On déchiffre (pupitre après pupitre)  la 1ère page du spiritual Rock my soul  pour se mettre dans le bain. Très dynamique !

Le rythme est assez difficile ; il faut se ba-lan-cer et non s'agiter : c'est un ber-ce-ment sur le "bosom" (sein, giron).

Pour la super-voix de sopranes. volontaires requises !

​Au programme de la prochaine séance : Le moteur à explosion (Chanson plus bifluorée). Plusieurs choristes l'ont déjà chanté, l'adorent et sont prié·e·s de rapporter leurs anciennes partitions.

 

Le 15 janvier, on partagera la galette. L'idée est donc de commencer un peu plus tôt et de s'arrêter vers 22 h pour tirer les rois. Rendez-vous donc vers 20 h - 20 h 10 max.

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Pour suivre la chronique de nos séances et concerts avant janvier 2025, rendez-vous à la page Archives.

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